Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Écrit à voix haute, « en plusieurs langues », la maison du Sérail se lit d'un trait en suivant le cheminement de la mémoire palimpseste. L'écriture est à la fois sonore, visuelle, olfactive, métaphorique, élégiaque et inventive aussi...
À la croisée de plusieurs genres, elle se fait récit, témoignage, biographie, recherche, exploration et reconstitution. Expériences, vies et narration se confondent pour conduire le lecteur vers un voyage intérieur, réel, entre l'Algérie, le Moyen-Or ient et la France... Mais pas seulement !
La maison du Sérail est une quête sans cesse renouvelée, sans cesse questionnée, celle de l'histoire, des langues retrouvées afin de rassembler les morceaux d'une vie, de sa propre vie... pour exister.
Après bien des détours, ce qui était endormi, relégué dans l'absence dessine un autre relief. Texte peuplé, multiple, viscéral, poétique comme l'être en chacun de nous. Assurément, une voix à entendre , une voie à suivre.
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