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Pourquoi pleurer fait-il du bien ? Parce que cela nous aide à dépasser, en les sublimant, les raisons de nos peines.On dit : «Arrête donc de pleurer comme ça, tout le monde te regarde, tu vas nous faire honte !» Pourtant, pleurer est l'un des comportements humains qui nous mène vers ce que nous avons de plus cher : la liberté et le bonheur. En effet, pleurer nous libère d'un poids, liquide en nous quelque chose de triste, un sentiment difficile, dur comme la pierre. Pleurer est une délivrance, un don spontané, un écoulement de l'âme au travers du corps qui accompagne nos impuretés affectives hors de nous et éclaircit nos idées noires. Pleurer est un médicament doux et naturel.Les mutations psychologiques et relationnelles de notre civilisation contemporaine se mesurent aussi à la façon dont pleurer a pu évoluer. Hier encore, il fallait retenir ses larmes, il fallait être un homme. Aujourd'hui, pleurer est thérapeutique. La force a changé de camp.Découvrez la sagesse des pleurs.
Dès que j’ai vu le titre de ce document, je me suis empressée de le sélectionner.
En effet, j’ai toujours pensé que pleurer faisait du bien, en tout cas, ME faisait du bien !
Alors en lisant La joie des larmes, une philosophie des pleurs, j’ai pu ainsi comprendre mieux ce phénomène.
D’ailleurs, le saviez-vous ? Il existe plusieurs manières de pleurer.
Dans la langue anglaise, trois mots les désignent :
CRY est populaire et désigne une façon ordinaire de pleurer, presque vulgaire.
WEEP est une manière de pleurer plus poétique avec profondeur.
SOB est quasiment pathologique, traumatique : on pleure avec des convulsions et des anhélations.
Je ne me reconnais pas vraiment dans l’une de ces trois manières de pleurer.
Mais en tout état de cause, dans ce flou des pleurs, une certitude apparaît :
Pleurer nous fait du bien.
Pourquoi pleurer nous soulage ?
Pleurer est la première manifestation, spontanée et humaine, d'une émotion.
Pourtant longtemps on nous a conseillé le contraire; Qui n'a jamais entendu : "Arrête donc de pleurer comme ça, tout le monde te regarde, tu vas nous faire honte" !? (Heureusement moins vrai maintenant)
Aujourd'hui, pleurer est thérapeutique. Il ne faut pas s'interdire de pleurer, il faut pleurer quand nous en avons envie, ce n'est pas une honte.
La force a changé de camp : elle se trouve chez ceux qui lâchent leurs émotions.
Dans ce document, plusieurs chapitres nous l’expliquent d’une manière claire et ponctuée de situations concrètes.
La suite sur mon blog : https://leslecturesdeclaudia.blogspot.com/2019/03/mercredi-cest-papi-la-joie-des-larmes.html
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