80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Quand j'étais encore jeune, je rêvais souvent de devenir vieux pour que le monde s'arrête et que je puisse le regarder tourner. Mais déjà, je ne suis plus jeune et le temps a poursuivi sa course. Et j'ai trop regardé tourner le manège... Le récit d'une existence n'est jamais qu'un accommodement avec les leurres et les mensonges de la mémoire, et un règlement de comptes avec le temps. C'est toujours un roman, même quand c'est ennuyeux comme un rapport d'expert, un contrat de notaire ou le journal d'un anonyme. Je me mêle à l'armée des ombres des ratés de la littérature, des graphomanes, des maniaques du journal intime, des autobiographes, des gribouilleurs de souvenirs, des tâcherons des sagas familiales... La glycine de la rue Le Dantec est le roman que je n'ai pas écrit. »
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