80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
" Les patronymes que je m'attribue sont fonction de l'employeur.
Je suis turc, arabe, berbère, iranien, kurde, gitan, cubain, bosniaque, albanais, roumain, tchétchène, mexicain, brésilien ou chilien au gré des nécessités. J'habite les lieux de ma métamorphose. " Un sans-papiers vit depuis des mois terré dans une chambre de bonne. Observant parla lucarne les habitants de l'immeuble d'en face, le jeune homme se remémore son passé, fait défiler les figures pittoresques ou sinistres de l'exil et attend jour après jour la visite de Michel, l'étudiant qui l'héberge et le ravitaille en secret.
Plus qu'une méditation sur le partage du monde, ce roman incandescent permet au lecteur de ressentir, au plus intime de lui-même, la peur et la misère des clandestins, la douleur du malentendu. " La voix de Hamid Skif est de celles qu'on préférerait ne pas entendre car elles sont trop émouvantes et trop proches. " Der Spiegel.
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