"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Édition originale allemande : Theodramatik. IV. Das Endspiel - 1983, Johannes Verlag, Einsiedeln Traduction : Robert GIVORD et Camille DUMONT Ce tome IV et ultime de La dramatique divine expose les fins dernières de l'homme. La mort, le jugement et la destinée éternelle y sont chrétiennement éclairés par la lumière de la «fin dernière» : la vie trinitaire de Dieu révélée en Jésus Christ. Dans une telle lumière on peut traiter la question soulevée par la Croix : si celle-ci montre l'opposition maximale de l'homme au don suprême de Dieu, la liberté infinie de Dieu peut-elle sauver la liberté finie de l'homme sans la subjuguer? Pour répondre, il faut s'interroger sur ce qu'est le monde créé par Dieu et son histoire (Teilhard, Moltmann proposent-ils une réponse satisfaisante?), sur ce qu'est le drame divin (Dieu souffre-t-il? tous sont-ils sauvés? qu'est-ce que l'enfer? etc.), ce qu'est le monde en Dieu, la vie trinitaire qui advient et qui ne peut absolument pas être présente sous une autre forme. Toute la dramatique puise dans la philosophie, la psychologie et la sociologie, dans les trésors de la littérature, de l'art et de la musique et intéresse ainsi toutes les disciplines. La presse en parle «Balthasar aura eu le mérite de penser le tragique de la Révélation dans l'engagement absolu de Dieu pour sa création sous le transcendantal du Bien.» Éric Gaziaux (Revue théologique de Louvain)
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