"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
René Derain aurait dû se fier à l'instinct de son chien. En arrivant au relais pour un séjour de chasse, son vieil ami, sitôt sorti de la voiture, a pris peur comme jamais. Mais l'atmosphère chaleureuse du chalet forestier et les veillées en compagnie des autres chasseurs font vite oublier cette inquiétante arrivée.
Pourtant est-ce la forêt, les participants ? rien ne semble vraiment normal. La maison est bientôt prise dans la glace. Le gibier meurt sans raison. Le téléphone, coupé. La faim, la suspicion, la haine. La folie. Au dehors, quelque chose ou quelqu'un assiste à leur agonie ou la précipite ?
Le dernier cahier de ce livre n'est pas découpé.
Il ne s'agit pas d'un défaut de fabrication.
Le récit se déroule en Norvège, où un groupe de chasseurs se retrouve dans un chalet isolé pour une semaine de chasse. Ce qui commence comme une aventure passionnante se transforme rapidement en un cauchemar, avec des éléments de suspense empruntant au huis clos. C'est à travers le prisme de la chasse que l'auteur va explorer des thèmes plus profonds tels que la nature humaine, la destinée, la vie, la mort et la philosophie. Ainsi, ce roman, bien qu'apparenté au thriller, est également un texte philosophique et théologique, offrant une réflexion approfondie sur la condition humaine.
Nous suivons René Derain, garde forestier et chasseur, qui a choisi de se rendre en Norvège pour une semaine de chasse intensive avec des experts venant d'Europe. Sept personnes en tout, deux femmes et cinq hommes, se retrouvent dans un chalet, sans se connaître. René Derain, arrive en dernier, accompagné de son chien, il ne peut que constater l'absence d'accueil. Le premier dîner se déroule dans une atmosphère plutôt agréable, mais dès le lendemain, les difficultés commencent. Le gibier se fait rare, certains chasseurs ont un comportement étrange, la météo vire rapidement au cauchemar, le froid s'installe, dehors les loups attendent. La maison devient un piège, plus de communication avec l'extérieur possible, le stock de nourriture diminue et la maladie frappe, la faim s'installe, la suspicion et l'angoisse règnent. Dans le groupe, des amitiés et des inimitiés se forment et un petit jeu cruel à propos d'un livre se met en place. On peut se demander si quelqu'un est derrière tout cela. L'amour s'invite là où on ne l'attendait pas mais un vent de folie souffle sur les personnages sans rien ne parvienne à l'arrêter à part la mort. Les quelques pages finales du livre n'ont pas été massicotées, un peu comme dans un livre dont vous êtes le héros il sera de votre responsabilité de les lire. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2023/10/27/40087482.html
René Derain arrive dans un chalet isolé où se trouvent déjà cinq hommes et deux femmes.
Ils ne se connaissent pas mais viennent pour chasser.
Étonnement, le maître des lieux n'est pas là
Bientôt la neige commence à tomber et le froid à se faire mordant.
Les conditions deviennent difficiles et ils n'ont plus de liaison pour joindre quiconque, bientôt plus de nourriture et les canalisations ont sauté.
C'est un huis-clos qui devient de plus en plus oppressant.
Je ne suis pas adepte de la chasse, loin de là, mais j'ai suivi avec plaisir la semaine de plus en plus angoissante de ces personnages.
Je l'ai lu tellement vite que je ne suis pas sûre d'avoir compris la fin.
De même que je ne comprends pas trop le titre.
Mais ce n'est pas grave, ça reste un bon roman.
Ca commence plutôt bien, malgré quelques signes étranges. Puis la météo s’y met et la suspicion augmente.
L’atmosphère devient de plus en plus lourde, à l’image que la neige qui ne cesse de tomber, du froid qui s’insinue partout.
Avec le personnage principal, nous devenons suspicieux.
Je n’y connais rien en partie de chasse, mais celle-ci m’a paru bien étrange.
Et au final, nous, pauvre lecteur, ne savons toujours pas qui a commis le crime….
L’image que je retiendrai :
Celle des livres, omniprésente : que l’on brûle pour lancer le feu, dont on arrache les pages pour faire des épaisseurs supplémentaires entre les couches de vêtements, que l’on lit et qui colle à la réalité du roman.
http://alexmotamots.fr/?p=2261
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