Le roman s'inscrit dans une tradition qui propose le renouvellement de la littérature. L'auteur, à partir d'une écriture fragmentaire, invite le lecteur à construire son propre miroir.Juan Filloy a défini le roman comme un miroir mondial.Le poète Daniel Andina a exprimé : Celui qui lira ces pages se mêlera à l'air, verra comment son coeur est soumis au tourment risqué de sentir qu'un rêve le traverse ; puis, peu à peu, il se découvrira prisonnier d'une demeure rayonnante de miroirs. J'ai lu. Je suis entré dans le labyrinthe. Je me suis vu reflété dans ses milliers de fragments. Le défi est de s'en sortir. Peut-être que la clé pour s'échapper un jour sera donnée par notre écrivain, mais pour cela il devra détruire le miroir. La fonction de l'écrivain est de déstabiliser, et José Kameniecki a réussi à le faire.Marco Denevi : C'est un ouvrage sans ancêtres, sans parents, sans famille, un livre né de lui-même, bien que nourri par de nombreux livres de mères, par de nombreux livres d'amour du lait. Vous appelez cela un roman. Mais j'admets qu'il a été inclus dans d'autres genres, peut-être dans tous les genres. L'intelligence artificielle a été utilisée pour traduire ce livre.
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