"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Dans trois jours, Sera Lighthaven procédera au plus grand acte de foi qu'une Céruléenne puisse accomplir, annonça la grande prêtresse. Elle plongera du promontoire situé dans les jardins Nocturnes et répandra son sang pour rompre le cordon. Elle sera honorée et chérie par nous toutes tandis que nous voyagerons vers notre nouvelle destination. » Sera se sentait comme engourdie. Son cerveau refusait de faire le lien avec ce qu'elle venait d'entendre, comme si la grande prêtresse parlait de quelqu'un d'autre.
Nous sommes les Céruléennes, notre sang est magique.
Ces mots prirent un sens nouveau et absolument terrifiant à ses oreilles. Son sang allait causer sa mort...
Avec ce premier volet d'un diptyque, Amy Ewing nous offre un univers fabuleux peuplé de créatures enchanteresses.
j'ai adoré ce roman, le thème est original bien qu'il s'agisse d'une dystopie. J'ai apprécié l'écriture mais aussi la société qui fonctionne sous un modèle matriarcal.
L’auteur nous emmène dans un voyage vers un univers où tout est bien ficelé. On découvre des mondes et des personnages au fil des pages qui nous charment un peu plus. Plus on avance dans la lecture et plus on en découvre et on en apprend sur l’univers que l’auteur a créé. Un univers où les secrets attire notre attention.
J’ai beaucoup apprécié le personnage de Sera. Elle n’a pas froid aux yeux. Ce qui m’a fait tout de suite accrocher avec son personnage c’est la personnalité qu’elle dégage. Elle a une personnalité plutôt intéressante et combative. Sera reste une personne combative même quand elle se retrouve dans un zone dont elle ne connaît rien. Mais ce n’est pas ça qui va lui faire peur ou autre, au contraire. C’est un personnage vraiment bien.
La lecture devient addictive quand Sera entre en collision avec le monde des humains. Notre curiosité s’éveille encore à cet instant. On va découvrir des personnages qui ont chacun leur personnalité bien à eux. Ce sont aussi des personnages qui ont chacun leur ambition, leur histoire. On va les voir évoluer au fur et à mesure de notre lecture. Il y en a certains que j’ai trouvé un peu inintéressants et d’autres qui ont un petit quelque chose de bien.
Honnêtement, j’ai bien aimé l’univers de cette histoire.Tous les détails qui nous sont révélés. Chaque élément apporte quelque chose à cet univers. Les créatures que sont les Céruléennes sont des créatures que j’ai aimé aussi. Elles et l’univers dont elles font partis sont bien construits. Tout ce qui gravite autour de cet imaginaire m’a beaucoup plu.
J’ai aimé voyager entre le monde des Céruléennes et celui des humains, mais c’est dommage que je n’ai pas eu de coup de cœur pour ce livre. Le petit point qui m’a un peu déçu c’est que j’ai trouvé que ça manquait d’approfondissement pendant certains moments. Notamment quand l’auteur aborde des sujets importants, ce qui rend l’histoire d’autant plus intéressante, mais qui ne sont pas assez développés.
L’auteur nous fait surfer entre ces deux mondes d’une façon tout à fait légère. J’ai cru à un moment que j’allais me perdre dans cet univers mais ça n’a pas été le cas. Je sais que souvent dans certains livres quand il y a deux univers j’ai tendance à me perdre à un moment donné, mais j’ai été surprise que ça n’a pas été le cas là.
J’ai hâte de lire la suite !
Je commence mon avis avec une minute superficialité ! Prenez le temps d'admirer la belle couverture de Collection R sur ce roman. Une beauté ! Elle représente tellement bien la Cité des Céruléennes. J'ai envie de me perdre dans tout ce bleu, d'aller me promener dans les Jardins, admirer les statues des filles de la lune et toucher les nuages ! Oui, vous avez bien lu. Elles peuvent sentir la douceur du nuage. En plus de la couverture, l'écriture d'Amy Ewing est très visuelle. J'ai adoré lire les descriptions des paysages et de me perdre dans les deux « mondes ». J'avais envie de découvrir les lieux et de côtoyer Boris et Errol. Ces deux êtres ont l'air tout simplement sublime, sans compter Sera. Elle est magnifique autant physiquement que dans ses valeurs et ses qualités.
À la lecture du résumé, je savais que l'histoire allait me plaire. Il y avait quelque chose qui m'attirait, et j'ai eu raison d'écouter mon intuition. J'ai beaucoup beaucoup beaucoup aimé La Cité du ciel. Je suis tombée sous le charme de l'univers. Les bases du récit sont bien posées et je me pose pleins de questions : sur la cité, sur les personnages et sur leur destin. J'attends donc la suite avec impatience car je veux des réponses. C'est vrai qu'on peut avoir l'impression que l'univers n'est pas assez exploité mais je fais confiance à l'auteure pour combler les trous par la suite.
Amy Ewing nous offre un univers riche et original, peuplé de créatures toutes plus belles les unes que les autres. Je me suis laissée emporter sans réfléchir où allait nous mener l'auteure, ce qui fait que je n'avais pas vu venir un élément. Et c'est sur cet élément que je me pose beaucoup de questions, comme le personnage de Leela. Tout est loin d'être clair. Cela sent la manigance et l'appel du pouvoir à plein nez. J'ai lu des avis disant que l'auteure avait voulu parler de nombreux sujets sans les exploiter. Pour ma part, je n'ai pas du tout eu ce sentiment. Je n'ai fait aucun parallèle avec notre monde. Je l'ai pris comme une toute nouvelle histoire, prenant plaisir à la découvrir et sans me préoccuper des sujets qu'elle pouvait aborder.
J'ai aimé la construction de son récit. Le roman est découpé en six parties où nous suivons les deux « mondes » et donc différents personnages. Grâce à cela, nous pouvons suivre l'avancée des événements des deux côtés. J'aurai peut-être aimé que le récit soit écrit à la 1 ère personne pour chacun des protagonistes. Cela ne m'a pas empêché de m'attacher à eux, mais je pense que ça aurait été un plus, pour être encore plus proche d'eux.
J'ai beaucoup aimé les personnages de Sera, Agnès et Leela. Je me suis attachée à ces trois jeunes filles. J'aime le fait qu'elles veulent sortir de ce que leur société leur réserve. Elles sont indépendantes et elles se posent des questions. Elles réfléchissent et ne veulent pas se contenter de leur sort. Léo m'a donné un peu plus de fil à retordre. J'ai eu du mal avec lui au début de l'histoire. Mais petit à petit son personnage va évolué et j'ai réussi à m'attacher.
En conclusion, La Cité du ciel est un bon premier tome. Il met en place un univers riche et original et nous laisse avec pleins d'interrogations. Je suis impatiente d'avoir toutes les cartes en mains. L'écriture de Amy Ewing est très visuelle. J'ai voyagé dans ces deux « mondes » inconnus. J'ai adoré les belles créatures qui peuplent les mondes et je me suis attachée aux protagonistes.
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