En allant du côté de la frontière turque, nous avons été chargés sur une charrette, avec un beau mulet et nous ferons douze kilomètres.
Le soir, le charretier nous dépose devant une taverne isolée. Nous dégustons quelques slouvakis (petites brochettes d'agneau grillées).
Nous montons notre tente près de cette taverne isolée, dans un pré, une bonne nuit après la fatigue de la charrette.
Le réveil, au petit matin, n'est pas très drôle. La tente, aussi bien en dehors que dedans, est remplie de grosses araignées. Moi qui en ai une quasi-phobie, je suis servi ! La sortie de la tente est plutôt rapide, là, nous voyons plusieurs cigognes, dans le pré voisin, qui se délectent de petits serpents, briiii.
Nous démontons et secouons la tente pour faire partir toutes ces araignées.
Et départ rapide pour de nouvelles péripéties.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
