80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec le siècle des Lumières naît l'usage politique et social de la raison éclairée et éclairante, qui mettra fin aux grands systèmes métaphysiques et religieux, aux idéologies porteuses de sens. Le développement des technologies, des moyens de communication, a provoqué à l'inverse une accélération du temps, une inondation de significations rendant le monde inaudible, et désormais, le questionnement sur l'orientation de sa vie traversant chacun ne peut trouver réponse et espace seulement dans un retour à soi, à ses aspirations.
Ce recentrement sur soi, justement, est à l'origine de critiques acerbes vis-à-vis du coaching, expression de l'individualisme contemporain, égoïste et narcissique, à revers de la démarche philosophique qui tend vers la construction d'une vision universelle.
Pourtant, le coaching s'appuie non pas sur la notion de l'individu, mais sur celle de la personne. Et de cette confusion permanente et souvent choisie, nous aboutissons à une lecture simpliste et réductrice du coaching. Or, insister sur cette notion de personne, c'est situer le coaching à l'opposé de l'individualisme. Le coaching veut inciter les personnes à réfléchir en partant d'elles-mêmes et de leur vie concrète afin de s'extraire d'une logique de revendication passive et de développer une emprise sur leur existence.
Le coaching responsabilise la personne dans la mesure où elle détient les ressources pour devenir acteur de son changement, il est une philosophie de l'homme.
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