Je travaille dans un centre culturel, au Perreux-sur- Marne. En fait, ce lieu est un complexe à la fois sportif et culturel. Il comprend un gymnase, trois salles de sport diverses, deux salles de danse, un grand et un petit théâtres, ainsi qu'une foule de recoins qui servent tantôt de débarras tantôt de cachettes à l'espièglerie des enfants. L'endroit le plus vaste de ce complexe est incontestablement le gymnase. Sa superficie est de huit cents mètres carrés, sans compter les gradins qui totalisent un peu plus de cinq cents places. Le tout est couvert par une charpente de bois située à une dizaine de mètres du sol. Chaque jour, des élèves des différentes écoles de la ville viennent y jouer au hand-ball, au basket-ball ou au volley. Plus rarement, certaines équipes viennent y disputer des matches de football d'intérieur. Plus rarement encore, des banquets, soirées dansantes, y sont organisés. Mais il arrive également, à une fréquence encore moindre, que des ventes, notamment de cartes postales ou de pièces de monnaie anciennes, y attirent numismates et collectionneurs en tous genres. Et c'est là, cher lecteur, que commence réellement l'histoire que je veux te raconter, bien que je doive préciser auparavant certaines choses, afin de donner à mon récit son maximum de clarté.
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