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« Cet essai n'est pas consacré à Antonin Artaud, mais à sa vision du monde, celle du premier occidental à avoir incarné le décentrement radical qui permet d'observer la réalité du monde sous son jour véritable. » Pour Artaud, la « Bestialité » est une rupture dramatique avec la vie, « la perte du contact effectif avec la Totalité »
Antonin Artaud a traqué la bestialité dans la poésie, la philosophie, et l'ensemble de la création, pour constater qu'il la fréquente finalement depuis sa jeunesse à Marseille, et qu'elle l'accompagnera sa vie durant, autant à l'asile de Rodez que dans la vie parisienne.
A sa suite, Thierry Galibert développe dans cet essai remarquablement documenté une ample réflexion - littéraire, politique, philosophique - sur la pensée réductrice de notre temps, qui conduit à faire du monde un hôpital psychiatrique potentiel, en lequel l'aliéné n'est pas celui qu'on croit.
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