80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le jeune Jimmy Hawkins gère avec sa mère l'auberge dans laquelle un certain Billy Bones, un vieux loup de mer, soit-disant marin, plus probablement pirate et paranoïaque, a trouvé refuge. Billy Bones, victime de la marque noire, synonyme de mort imminente dans le monde des pirates, rend l'âme dans une crise d'apoplexie particulièrement virulente. C'est le point de départ de plusieurs évènements simultanés : le père de Jimmy, malade, décède à son tour ; Jimmy trouve dans les affaires du mort une carte mystérieuse ; les sbires de Flint, pirate légendaire, débarquent en force à l'auberge. Jimmy et sa mère s'enfuient chercher de l'aide auprès notamment du médecin qui s'occupait du père de Jim. le docteur Livesey reconnait dans la carte trouvée par Jim LA carte qui permettra de trouver un fabuleux trésor.Robert Louis Stevenson se lance à l'assaut du Pacifique, en 1888, dans l'espoir de guérir son emphysème sous le soleil des tropiques. Mais son amour de la mer et de l'aventure ne date pas de cette traversée : il l'a reçu en héritage de ses ancêtres bâtisseurs de phares sur les côtes d'Ecosse. Des brumes du nord aux îles Sous-le-Vent, tous les romans et récits maritimes de Stevenson sont marqués par ce même mouvement de l'ombre vers la lumière. Ombre du mystère et lumière de l'or : deux pôles d'un univers littéraire où les aventuriers sont à la fois des criminels et des rêveurs, où la fortune - toujours recherchée et rarement atteinte - semble une métaphore de la guérison, une seconde naissance.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année