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Cet ouvrage a montré la polysémie du mot « juste ». Neuf chapitres ne sont pas de trop pour faire le tour -non exhaustif- de cette réalité multiple. C'est ainsi qu'ont été abordés les thèmes suivants :
1. L'étymologie.
2. Juste : éléments du droit et des sciences sociales 3. Qu'est-ce qu'une société juste ? Approche des sciences morales et politiques.
4. La distance juste et la distance injuste entre soignant et soigné.
5. Juste, l'expression de la Bible.
6. Juste, l'expérience du Bouddhisme.
7. La liturgie : quand paroles, gestes et symboles sont ajustés.
8. Une attitude ajustée découlant de la chasteté.
9. Célibat des prêtres catholiques : pour un engagement juste.
Ces différents chapitres s'éclairent et s'enrichissent mutuellement. Ils montrent clairement la teneur positive du mot « juste ». Nous sommes loin d'une conception étriquée.
L'étude montre que la réalité juste touche l'individu et la communauté humaine. Sont interrogées les relations de soi à soi, de soi à l'autre. Est aussi posée régulièrement la question du cadre de référence, sa nécessité, sa pertinence... le monde symbolique est lui aussi appelé en présence. L'être juste n'est pas le fruit de choix subjectifs auto-référencés. L'être juste n'est pas non plus d'abord une vue de l'esprit ; il prend racines dans nos profondeurs.
L'être juste est un véritable travail qui demande l'attention de tous les instants. Etre juste structure la personne, le groupe. Etre juste nous renvoie à notre désir d'être unique et heureux, d'être relié à nous et aux autres. Le détour en vaut la peine.
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