Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Alors que le réalisme social règne en maître dans la sphère littéraire d'une Espagne encore en plein franquisme, le premier roman de José María Guelbenzu constitue en 1968 une véritable rupture. En s'interrogeant sur la forme et le contenu du récit, il offre une écriture qui bouleverse les codes du langage et de la structure narrative. Fidèle à ses thématiques du temps, de la mort, de la frustration de l'amour et de l'échec de l'absolu, il n'aura de cesse de renouveler la matière romanesque, en offrant au lecteur une place jusqu'alors inédite.
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