80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Finement raconté par Francine Allard qui a l'habitude de nous étonner, J'ai tué Freud et il m'en veut encore nous entraîne dans un monde peu exploité en littérature : le viol de la confi dentialité.
Meryl Maillet est un psychiatre qui, une fois installé confortablement chez lui, raconte à sa conjointe, tel un téléroman, ses entretiens avec ses patients : le joueur de hockey manchot, l'avocat travesti, le vieillard qui pleure encore la mort de sa maman et tant d'autres. Jasmine, la parfumée, répète dans les moindres détails, sans en révéler la provenance, le contenu de ces rencontres à six apprenties écrivaines qui fréquentent son atelier d'écriture au sous-sol de l'église Saint-Pierre-du-Calvaire à tous les vendredis après-midi.
L'une d'entre elles réussit à publier un roman témoignant de toutes les particularités de la vie d'une patiente du docteur Maillet qui est très connue du public. L'auteure relate, dans son roman, un sordide détail que Victoria Simonneau n'a confi é qu'à son thérapeute. Nous voilà tombés entre les crocs d'un monstre ravageur.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année