80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pierre est un jeune homme animé par un mal étrange : il ne peut supporter d'entendre le tic-tac d'une horloge ou le carillon d'une cloche. Pourtant les églises si nombreuses à Dijon l'attirent, et il ne peut s'empêcher de tourner autour de la jolie femme qui travaille à l'atelier de vitrail. Sa névrose est d'autant plus visible qu'il ne cesse de fréquenter des endroits où sa phobie peut se réveiller. Ainsi, pour combler son temps oisif et se faire un peu d'argent, il fait la lecture à une vieille femme, madame Thomas, qui a la manie paradoxale de garder en l'état tous ses meubles et souvenirs anciens, et de remonter les trop nombreuses horloges qui égrènent bruyamment les heures dans son appartement étouffant. Pierre s'y rend chaque jour, mais il a chaque fois de plus en plus de mal à monter l'escalier qui mène chez la vieille femme tant il a peur d'entendre sonner ces horloges... Dans ce drame psychologique, l'auteur entraîne le lecteur au coeur des obsessions d'un homme... jusqu'au dénouement fatal. Comme dope dans sa névrose, Pierre avance vers la solution à ses questions, solution qu'il connaît par avance puisqu'elle est enfouie en lui.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année