80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"Batteuse", "battoir", "batterie", suivant les régions, ces machines changeaient de nom et ses serviteurs étaient appelés "les batteux". Aujourd'hui disparues, les batteuses n'ont pas toutes eu la chance de finir dans un musée, chez un collectionneur ou dans le fond d'une grange, la grande majorité d'entre elles ont terminé au bûcher. Elles n'étaient pourtant ni hérétiques ni traîtres, mais leur ferraille était très convoitée. Ainsi, des récupérateurs bien connus cassèrent et brûlèrent des chaudières, des batteuses à grains et à trèfles achetées à des entrepreneurs et à des paysans, dans le but de revendre leur ferraille, qui servit alors à construire d'autres matériels agricoles, plus modernes. Les bonnes vieilles batteuses tombèrent définitivement dans l'oubli. Cet ouvrage fait renaître le souvenir de ces machines, en offrant au lecteur un panorama de l'histoire des différents types de batteuses qui existèrent en France, des premiers appareils à battre du XVIIIe siècle à ceux des Trente Glorieuses.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année