Dans une installation photovoltaïque, les panneaux contribuent à 57% du coût total et les batteries occupent la seconde place avec 30%. Les autres composants (onduleurs, hacheurs, contrôleurs) contribuent à leur tour avec 7%, et le coût des câbles, connections et installations ne dépasse pas les 6% du coût global. Pour ces raisons-là, les recherches visent à réduire la quantité de panneaux et de batteries et à produire le maximum possible de puissance dans les différentes conditions d'ensoleillement ou de température. Cette maximisation peut être effectuée par des méthodes mécaniques ou électroniques. La première consiste à suivre le mouvement du soleil tandis que la seconde utilise des algorithmes connus sous le nom d' «algorithmes de suivi du point de fonctionnement à puissance maximale» (MPPT en anglo-saxon). Cette étude traite la chaîne de conversion d'énergie, y compris le modèle d'un module photovoltaïque et du convertisseur, passe à la modélisation des algorithmes MPPT, et termine par l'étude de stabilité et la comparaison des performances des différents algorithmes.
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