80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Éternel retour de fin » s'inscrit comme la suite temporelle de « Déroute de la volonté » en couvrant la période 2010-2018. Il s'agit ici sans l'ombre d'un doute du contrepoint poétique d'un roman de l'auteur, « Amor Fati ». Ici encore, l'angoisse jusqu'au tournis et la colère subie, roulant comme les vagues à La Torche, sont les deux concepts majeurs. L'éternel retour nietzschéen, maintes fois rappelé et conscientisé, qui concluait ardemment « Amor Fati », a pu sembler une thérapie mais se heurtant au terrible réel, notamment la multiplication des deuils traversés par l'auteur, ne s'est résolu que par le caractère inéluctable de la fin.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année