Des étudiants de l'École nationale supérieure d'architecture de Toulouse sont partis à la rencontre des espaces sofiotes pour en comprendre les transformations sociospatiales. La ville, en effet, possède un visage singulier : partout surgissent des inscriptions sociales, des façades à l'aménagement des espaces d'entre-deux barres. Cet héritage de la période communiste est rendu possible car les Bulgares sont majoritairement propriétaires de leurs logements, même si le sol reste collectif : ils sont ainsi maîtres des rénovations qu'ils entreprennent à l'échelle de leur habitation. Mais les espaces extérieurs urbains sont-ils réellement aménagés en commun ? Quelles sont les communautés qui décident des travaux à effectuer ? Comment ces travaux sont-ils réalisés ? Et les usages de ces espaces sont-ils partagés ?
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