80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La communauté internationale s'est formellement engagée, à travers la Convention des droits de l'enfant (CDE) en 1990, à protéger en tout temps, l'enfant et ses droits, quelles que soient les circonstances. La CDE, instrument de Droit international des Droits de l'Homme, complète ainsi le dispositif juridique mis en place par le Droit International Humanitaire afin d'élever le niveau de la protection due à l'enfant en cas de conflits armés. Cependant,les droits énoncés par la Convention, notamment le droit de l'enfant à la santé et à l'éducation, ne reçoivent pas dans les faits, l'effectivité attendue dans les situations de conflits armés interne, surtout en Afrique. En se basant sur le conflit armé en Côte d'Ivoire entre 2002 et 2011, ce travail s'interroge sur les raisons de l'écart entre le droit posé et son application, pour montrer l'impact considérable des conflits sur les enfants et leurs droits fondamentaux. Il propose, entre autres, en tenant compte du contexte où les conflits n'opposent plus des États entre eux, mais des États à des acteurs armés qui ne sont pas étatiques, la responsabilisation des différents acteurs impliqués, comme l'une des pistes de solution.
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