80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le destin a voulu que Julian Boulven soit présent en cette funeste nuit du 29 février 1960 à la base aéronavale d'Agadir au Maroc quand, en quelques secondes, un terrible tremblement de terre raye de la carte une ville de quarante-cinq mille habitants, faisant plus de quinze mille morts et environ vingt mille blessés. Le jeune Breton, en tant qu'appelé au service national, en mission d'assistance dans cet ancien protectorat français, fait alors partie des mille quatre cents marins épargnés qui participeront aux premiers secours d'urgence.
À son arrivée, il avait pourtant découvert un petit coin de paradis, ensoleillé, aux parfums d'Orient, où cohabitait en bonne entente une population d'origine diverse. Quelques jours plus tard, il se retrouve avec ses camarades de la marine plongé dans la fournaise d'un véritable enfer pestilentiel.
Ce n'est que cinquante ans plus tard, après sa rencontre avec Youssef, survivant du séisme d'Agadir, qu'il raconte ce qu'il a vécu alors qu'il n'avait que vingt ans. L'histoire commence sur sa terre natale nichée dans le golfe du Morbihan, la veille de son départ au service national...
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