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Dans un futur proche. Un virus mortel, La Main de Dieu, ne se contente pas d'annihiler la majeure partie de la population mondiale ; il libère aussi les tendances nihilistes des rescapés, privés de repères sociaux et moraux. Les frustrations contenues depuis longtemps se libèrent et les sentiments s'exacerbent. Des groupes radicaux se forment alors sur les ruines de la civilisation et se disputent les restes de l'humanité. Et si un génocide à l'échelle planétaire pouvait contenir le fléau ? Les survivants tentent d'échapper à la pandémie et à la folie des hommes. Des destins se croiseront et s'entrechoqueront parfois mais s'inscriront toujours dans un plan qui les dépasse largement. Une série B jubilatoire, à la fois inventive et référencée, qui joue avec les clichés du genre pour donner vie à une BD délicieusement trash, déviante, violente et jusqu'au-boutiste. Entre zombies cannibales, immortels et beautés fatales, ça gicle, ça éclabousse, ça ne s'arrête pas, ça part là où on ne l'attend pas : gigantesque fresque hallucinée, « La Main de Dieu » cogne fort et on aime ça.
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