"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Parfois, il faut choisir l'imperfection pour être Parfait.
Dans le monde de Celestine North, chaque citoyen doit être Parfait. Quiconque commet la moindre erreur se voit marqué du sceau de l'Imperfection.
Pour qui a pris une mauvaise décision : c'est sur la tempe.
Pour qui a menti : la langue.
Pour qui a commis un vol : la paume de la main droite.
Pour qui s'est montré déloyal : le coeur.
Pour qui s'est écarté du droit chemin : la plante du pied droit.
Celestine mène une vie parfaite au sein d'une famille parfaite et au bras du petit ami parfait. Elle pense incarner l'idéal de la société.
Et si Celestine s'était trompée ? Si c'était le système lui-même qui était Imparfait ?
Traduit par Christophe Rosson.
Parfois, il faut choisir l'imperfection pour être Parfait. Dans le monde de Celestine North, chaque citoyen doit être Parfait. Quiconque commet la moindre erreur se voit marqué du sceau de l'Imperfection.
Ce livre est une dystopie donc une histoire ayant lieu dans une société imaginaire difficile ou impossible à vivre, Célestine vit dans un monde parfait, ceux qui font des choses graves sont marquées à vie.
Célestine va flancher et son univers va s'écrouler, c'est ce genre de personnage que je préfère, qui as des valeurs et va jusqu'au bout de ses convictions et c'est aussi la notion du bien et du mal qui est posée aussi.
C'est aussi ce qu'on appelle un livre Young-adulte, mais, j'ai beaucoup aimé, c'est addictif, cela m'a pris littéralement aux tripes, cette jeune fille qui est considérée comme bien comme il faut, et pour un acte civique elle remet toute sa vie en question. Je l'ai sentie courageuse, obstinée, oui c'est une société imaginaire, cela parle d'un véritable sujet, quand nous prenons une décision et que toute notre vie est remise en question et quels bouleversements cela engendrent ?
Je ne le savais pas, mais c'est un tome 1, je n'ai pas encore acheté le volet suivant, mais c'est sûr que je veux connaître la suite de cette histoire.
Je ne connaissais pas cette autrice, et j'ai aimé sa plume qui est assez percutante, et m'a permis de me plonger dans ce monde imaginaire, je dirais heureusement, car cela fait froid dans le dos, mais je n'oublie pas que dans notre monde, il y a longtemps les hommes étaient marquées aussi, maintenant cette époque est révolue, mais cela me permet de ne pas oublier le passé.
Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de livre mais, j'ai beaucoup aimée et je suis bien contente d'avoir découverte cette nouvelle série.
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Un concept qui a su attiser ma curiosité
Après Aussi libres qu’un rêve et Les Puissants (tome 1), je poursuis sur ma lancée dystopique – il faut dire que j’ai fait le plein dernièrement ! – avec cette nouvelle série.
Dès la quatrième de couverture, j’ai été séduite par le concept général de l’histoire : l’obligation d’être parfait pour tous ! L’idée est ici poussée à l’extrême, et même jusque dans l’harmonisation des vêtements au sein de chaque famille. Néanmoins, on se rend compte assez vite que ce n’est pas une société obsédée par la recherche de perfection, mais bien par les apparences.
C’est donc un véritable lavage de cerveau que subit toute la population ! Il FAUT être parfait, quoi qu’il arrive, car ceux qui ne le sont pas – ne le sont plus – ne méritent ni considération, ni compassion. Autrement dit, ils sont inférieurs, traités comme de vrais parias sans pour autant avoir le statut de criminels. Absurde, vous en conviendrez !
Du coup, je n’ai pas pu m’empêcher de faire un parallèle avec la condition des personnes de couleur noire par le passé, surtout que Celestine a elle aussi la peau foncée. Les Imparfaits doivent, par exemple, respecter un couvre-feu, se voient attribuer une seule place dans le bus, lorsqu’elle n’est pas déjà occupée, et il est interdit de leur venir en aide !
Mais… même si la Guilde s’acharne à créer de petits robots obéissants, elle ne peut s’immiscer jusque dans les pensées des gens. Et, comme vous pouvez vous en douter, le feu de la révolte couve depuis longtemps déjà.
L’histoire (presque) parfaite d’une Imparfaite
Pour être tout à fait honnête, je n’ai pas été subjuguée par le premier tiers du bouquin, que j’ai trouvé un peu plat, raison pour laquelle ma lecture n’a pas été un vrai coup de cœur. Le récit aborde cependant un tournant plus dramatique lorsque Celestine prend parti pour un Imparfait. Je ne vous en dirai pas plus, pour ne pas vous dévoiler toute l’intrigue, mais c’est à partir de cet instant précis que j’ai été conquise.
Embarquée dans une sombre lutte pour le pouvoir, notre héroïne se retourne littéralement contre la Guilde qu’elle encensait 100 pages auparavant ! Bien dosée, l’action laisse de temps à autre la place à des découvertes palpitantes qui remettent tout en question.
Bon, certaines choses étaient prévisibles, comme les intentions de Logan à l’égard de Celestine – et je crois savoir où est cachée cette fichue vidéo ! –, mais d’autres beaucoup moins. Quant à la fin, sans être le moment fort de l’histoire, elle est appropriée, tout en présageant de nombreux rebondissements pour le tome 2.
Focus sur les personnages
Au premier abord, je n’ai pas trouvé Celestine très concernée par le sort des Imparfaits, même lorsqu’elle voit sa voisine se faire embarquer par la Guilde. La suite m’a donc semblé un peu improbable ; elle pense d’ailleurs avoir échangé sa place avec sa sœur, sans trop savoir comment. Peut-on vraiment parler de prise de conscience tardive ? J’imagine que oui…
Concernant sa relation avec Art, en toute franchise, elle m’a presque donné envie de vomir, tant elle était écœurante de romantisme. Heureusement, ça n’a pas duré longtemps, donc le pire a été évité.
Quant à Crevan, il est un poil caricaturé, mais demeure malgré tout cohérent dans ses actes, ainsi que dans ses paroles, ce qui l’a rendu détestable à mes yeux. A l’inverse, alors que j’avais de gros a priori sur la mère de Celestine, j’ai été agréablement surprise par son attitude face aux malheurs de sa fille. Et que dire de son grand-père ? Un personnage terriblement attachant, bien qu’un tantinet loufoque, que j’aimerais découvrir davantage dans la suite de la série.
Enfin, j’ai trouvé que Carrick et Celestine nouaient des liens trop rapidement, mais cela reste crédible vu qu’ils sont, en quelque sorte, unis dans leur drame.
Un dernier mot sur la plume de Cecelia Ahern
L’auteure n’étant pas francophone, il est difficile de juger sa plume. Au-delà de la traduction néanmoins, le langage utilisé m’a paru très « jeune ». Je me souviens, par exemple, avoir lu « elle buggue » pour parler d’un personnage, et ça m’a un peu interpellée. Mais, en fin de compte, on se fait vite à ce style qui ne s’encombre pas de fioritures, à la fois puissant et addictif.
En bref, une lecture très fluide, d’autant plus que l’histoire est écrite à la première personne. J’ai été happée par les pensées de Celestine qui, avec le temps, ont pris le chemin tant espéré de la rébellion.
Je tiens tout d'abord à remercier les Editions Hachette pour l'envoi numérique de ce livre. Attirée par la couverture du livre que je trouve sublime et mystérieuse à la foi, je n'ai pas pu résister lorsque j'ai lu le résumé et que j'ai compris qu'il s'agissait d'une dystopie. Autant vous le dire directement, ce livre est Un coup de Cœur ♥
Dans cette histoire, nous allons donc suivre une jeune fille, Célestine, qui vit dans un monde où tout le monde est sensé être Parfait. Quiconque commet une erreur est marqué à vie du "I" de l'imperfection, devient donc Imparfait aux yeux de la société, et voit sa vie bouleversée à jamais. Car qui dit Imparfait dit perte de liberté. Ces imparfaits sont alors surveillés en permanence et ne sont plus libres de leurs faits et gestes, de leur alimentation où de la manière dont ils veulent vivre leur vie. Une vraie prison ! Ils sont alors considérés comme moins que rien, et il devient alors interdit de les aider ou même, de les aimer.
Ce que j'ai particulièrement adoré, c'est que tout parait réel, et que l'ont se met très facilement à la place des personnages. Ces événements pourrait d'ailleurs se produire chez nous dans un futur proche, et c'est ce qui m'a permis une immersion totale dans l'histoire. Célestine vit donc une vie parfaite, se considère comme parfaite et nous fait découvrir les imparfaits au travers de ses yeux. J'ai beaucoup aimé la dimension politique développée ici, et j'ai accroché à l'intrigue dès le départ.
J'ai également accroché très rapidement au personnage principal, Célestine. Ce n'est pas particulièrement le genre de héros courageux qui se rebelle contre le système, que l'on peut avoir l'habitude de voir, et c'est la raison pour laquelle je l'ai autant apprécié. Elle est honnête, loyale, juste et parfois un brin naïve, mais elle se retrouve bien malgré elle dans toute cette intrigue, ce qui la rend très humaine et particulièrement attachante.
Si Célestine dénigre au départ les imparfaits, on se pose progressivement quelques questions, en se demandant ce qu'est réellement la perfection, et si elle existe vraiment. Et puis le cours de l'histoire nous interroge sur le fait de défendre ses convictions les plus profondes, ou laisser faire les choses, même si elles sont contraire à ce que nous sommes. C'est clairement une thématique qui m'a passionnée tout au long de ma lecture !
Cette histoire est un mélange parfait entre intrigue captivante, personnages attachants, rebondissements, j'ai ressenti de nombreuses émotions comme la peur, voir l'angoisse. J'ai couru avec Célestine, j'ai eu peur avec elle et j'ai aimé avec elle. Cette dystopie est bourrée d'action, il n'y a pas de temps mort, j'ai tout adoré ! Je regrette juste de devoir attendre aussi longtemps pour pouvoir dévorer le tome 2 ! Je vous conseille à 200% cette dystopie, parfaite en son genre !
↠ Coup de cœur ↞
C’est la particularité de l’univers de Destiny qui a attisé ma curiosité. En effet Cecelia Ahern nous conte un monde où être imparfait est un crime. Suite à une crise économique majeure, due à la corruption et autres malversations du gouvernement, une nouvelle société a vu le jour. Elle se veut d’être parfaite. Celui qui dévie de leur droit chemin se verra marqué du sceau de l’imperfection.
Par exemple, celui qui prendra une mauvaise décision, se retrouvera marqué d’un I sur la tempe. Le menteur, lui se verra puni par une marque sur la langue. Pour se faire remarquer, le voleur se verra attribuer sa marque sur la main droite. Charmant non ? J’avoue cela peut être effrayant, ce n’est pas sans rappeler des sombres périodes de l’humanité.
Si Destiny ne renouvelle pas le genre en termes de roman dystopique, ce roman arrive à se démarquer par un univers riche, parfaitement maitrisé, faisant preuve d’originalité ! Destiny se révèle être une excellente dystopie, très prenante !
Comme tout roman dystopique qui se respecte, Cecelia Ahern ne déroge pas à certaines règles du genre, notamment en ce qui concerne notre héroïne Célestine et son univers. A travers son personnage principal, l’auteur met en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie. Elle nous livre aussi une héroïne courageuse, qui deviendra à force d’épreuves le symbole de la résistance, pointant du doigt l’injustice, l’imperfection, remettant aussi en cause l’impartialité de cette société qui peut paraitre à bien des égards barbare.
Le fait que ce monde se retrouve plus ou moins dans un futur proche, qu’il n’y a pas de grande avancée technologique, que le monde ne soit pas aux bord de l’extinction fait qu’on appréhende avec une facilité déconcertante l’univers que présente Cecelia Ahern.
Je dois avouer, au début de l’histoire, j’ai eu du mal à apprécié Célestine. Notre héroïne est vite prise aux pièges entre les règles, sa fidélité envers eux, sa vie « parfaite » et sa logique. Cela nous apparait comme une vision biaisé, étroite, en deux dimensions, soit noir ou blanc. Cela est peut-être voulu par l’auteur, pour nous montrer à quel point ce monde est contrôlé ou même sous tension. Cette vision a été difficile à accepter, puis finalement Célestine se révèle à nous et nous entraine dans une histoire hyper prenante !
Le monde qui gravite autour de Célestine, de ces êtres parfaits et « imparfaits » qui le peuplent, associé, à cette tension rendent vraiment Destiny addictif. J’ai vraiment été séduite par cette société sombre, à la limite « barbare » mais aussi par la force, le courage qui s’était caché en Célestine. Attention l’histoire est tout aussi intéressante, mené à tambours battant !
Cette tension monte crescendo à mesure que Célestine se dévoile à nous et nous montre à quel point ce monde est imparfait, injuste. Finalement Destiny se révèle être un roman finement bien mené, qui derrière cet univers bien sombre cache une jolie morale. J’ai hâte de pouvoir découvrir la suite de cette belle et prenante aventure !
http://hidesbouquine.blogspot.fr/2017/08/destiny-destiny-1-cecelia-ahern.html
Incursion dans la littérature Young Adult pour Cecelia Ahern. Comme je pleure toujours devant PS : I love you (oui, j’assume complètement), je n’ai pas pu m’empêcher d’aller découvrir sa nouvelle série…
Le genre est tout à fait différent bien sûr puisqu’il s’agit d’une dystopie. C’est un genre qui me plaît et pour moi le contrat est rempli. J’ai bien aimé le postulat de départ : une société qui tend à la perfection en jugeant les actes immoraux. Aucune loi n’interdit le mensonge, l’infidélité ou sanctionne les erreurs de jugement. Pourtant, ces actes nuisent au bon fonctionnement de la société. Les personnes jugées imparfaites sont marquées et mises à l’écart. Elles paieront toute leur vie le prix de leurs erreurs. De quoi faire réfléchir n’est-ce pas ? Pourtant, la majeure partie des citoyens ne bronchent pas devant le traitement réservé aux imparfaits. Soyons solidaires et généreux mais pas avec n’importe qui…
La dystopie est très souvent le moyen de dénoncer les travers de notre société actuelle et celle-ci n’échappe pas à la règle. J’ai trouvé que cela était bien rendu et j’ai beaucoup aimé que l’auteur l’aborde avec cette question de perfection.
Les personnages ainsi que le déroulé des événements sont parfois prévisibles. Célestine va incarner malgré elle le rôle de la rebelle et sa naïveté est un peu poussée à l’extrême. De même, ses rapports avec les autres personnages évoluent sans grande surprise. Néanmoins, je trouve que l’auteure n’a pas épargné son personnage. Les épreuves que va endurer Célestine sont violentes et humiliantes. Cecelia Ahern nous écrit les aventures d’une jeune adulte et non d’une adolescente de 13 ans dotée de plus de maturité et de jugeote que la totalité de la génération des trentenaires…
En bref, Cecelia Ahern n’a pas révolutionné le genre mais elle nous propose un début de série qui tient très bien la route. La fin de ce premier tome a titillé ma curiosité et j’ai vraiment envie de découvrir la suite !
https://lecturesdemistinguette.wordpress.com/2017/07/22/destiny-cecelia-ahern/
Celestine vit dans une société où toute mauvaise décision entraîne un jugement, puis puni par une marque soulignant son isolement de la société, à devoir subir tout un nombre de règles strictes. Elle, elle est parfaite, ou tout du moins jusqu'à un événement qui bouleverse toute sa vie et son avenir.
C'est dans ce monde que nous nous trouvons donc plongés, aux côtés de Celestine, jeune fille de dix-sept ans, qui excelle à l'école et particulièrement en mathématiques. Nous suivrons chacune de ces décisions, chacune des leurs conséquences, chacun de ces choix, dans ce monde où tout doit être parfait.
L'héroïne est assez attachante, bien qu'elle ne soit pas entrée parmi mes personnages favoris. Elle a néanmoins l'avantage de changer d'autres personnages, tout chez elle fonctionne selon la logique, comme dans les mathématiques. Et c'est cette façon de voir les choses qui va la mener à devoir faire face à différentes épreuves.
On sent le personnage évoluer dans l'histoire, notamment sa vision sur les Imparfaits : et si finalement, ces gens ne sont-ils pas comme les autres ? Méritent-ils vraiment leur châtiment ? Des questions que Celestine se posera, et qui influenceront son jugement dans le récit. La jeune femme est un personnage fort, qui ne se rend pas compte de l'influence qu'elle peut avoir, peu importe dans quel camp.
On croise d'autres personnages dans cette histoire, mais on s'y attache assez difficilement pour un nombre considérable d'entre eux. Cela s'explique assez facilement par la façon de voir les choses de l'héroïne, qui n'accorde pas rapidement sa confiance aux autres suite à ce qu'elle a subi, ce qu'on ressent dans le roman.
Pour ce qui est de l'histoire, j'ai trouvé le concept original, et j'ai apprécié ce type d'univers, qui s'ancre plutôt bien dans la réalité, puisqu'on retrouve d'ailleurs à plusieurs reprises des pays européens cités dans le livre. On suit une héroïne tantôt battante, tantôt démotivée, mais qui montre qu'on n'est pas toujours dans une optique de justice malgré les injustices existantes qui nous étouffent.
J'avoue avoir été un peu déçue par un aspect de l'histoire, non pas réellement dans l'intrigue, que j'ai trouvé vraiment sympa et bien menée, mais parce que je trouvais qu'il manquait un peu d'action dans ce premier tome. Tandis que j'attendais des moments de véritable rébellion avec des actions concrètes, on reste pour l'instant sur actions sans réelles conséquences dans le récit, ce qui fait que ce tome semble plutôt être une introduction pour la suite.
Mais malgré cet aspect un peu ennuyant pour moi, l'autrice a su construire une hiérarchie dans son roman qui tient la route, avec des enjeux politiques et sociaux à chaque instant, de la folie et de l'abus de pouvoir, mais aussi une organisation cohérente du système pénal établi dans le roman. On retrouve aussi des personnages de fond qui correspondent pleinement à notre réalité, des gens qui ont peur de la différence, qui ont peur d'être exclus, qui ont peur de perdre leur vie confortable. Cet point du roman permet d'ancrer encore mieux le récit dans notre propre monde.
Grâce à ce roman, Cecelia Ahern soulève un sujet important, celui de vouloir approcher de la perfection chez certaines personnes, et qui fait réfléchir sur cette notion de perfection et d'erreur. J'ai aimé voir ce type de sujet abordé dans un roman, notamment alors que nous sommes aujourd'hui dans un monde où le paraître semble fondamental. Nous avons le droit à l'erreur, et nous ne pouvons être parfaits. Comme le dit l'autrice "N'ayons pas peur d'être imparfaits. [...] Acceptons qu'il est humain d'être imparfait".
En conclusion, ce roman traite un sujet original dans cette dystopie, avec les notions de la perfection, de la morale et de l'erreur qui nous font nous-même nous questionner sur ces dernières. L'univers est bien élaboré sous tous les angles et on veut connaître la suite des aventures de Celestine, car malgré que ce tome semble plutôt être une introduction au prochain tome afin de poser les fondations solides pour le récit, les dernières pages nous prouvent que l'on passe à la vitesse supérieure dans la suite de la série. Je pense donc ne pas passer à côté de la suite des aventures de Celestine, un personnage fort, qui a de grandes choses à accomplir dans la société dans laquelle elle vit, et dont nous voulons en savoir plus.
Note de 3,5/5 sur le blog.
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