Dans « Les contes philosophiques du chat et autres créatures » l'auteur met en scène, dans un style alerte et avec humour, divers animaux.
Ainsi un vieil hibou, éminent professeur sauve de la noyade une de ses étudiantes les plus brillantes, Dixie, une jeune belette qui lui demande ce qu'elle peut faire pour lui.
Et l'auteur poursuit : « Il sourit. Oui ! Les grands ducs sourient parfois, mais jamais aux humains. Il reconnut qu'il s'était lancé à sa recherche car il souhaitait lui soumettre une proposition... ».
Le ton est donné. Et c'est pour le plus grand plaisir des lecteurs.
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