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A 17 ans, Aleisha travaille dans la petite bibliothèque de son quartier : un job d'été tranquille qui lui permet de reprendre son souffle loin de sa mère bipolaire. Elle, qui ne lit que très peu, s'y ennuie terriblement jusqu'au jour où elle découvre une mystérieuse liste de lecture en rangeant un exemplaire de Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur. Intriguée, elle décide de se plonger dans tous les ouvrages de la liste pour pouvoir conseiller les usagers de la bibliothèque, dont un vieil homme isolé à la recherche des livres grâce auxquels il réussira à se rapprocher de sa petite-fille.
Le début d'une émouvante histoire d'amitié intergénérationnelle construite sur le pouvoir thérapeutique et fédérateur de la littérature...
Ce qui m’a attirée dans ce roman, c’est bien cette liste de classiques de la littérature anglo-saxonne et j’ai retrouvé des auteurs mythiques comme Jim Morrison, Daphné du Maurier, ou encore Jane Austen
L’intention de l’autrice est louable : raconter une sympathique histoire de rencontres autour d’une mystérieuse liste de lecture qui apparait de façon aussi mystérieuse lorsque les personnages sont en quête de sens. Car, malgré la solidarité de la communauté hindoue, les personnages (qui sont anglais d’origine indienne comme l’autrice) connaissent parfois la solitude et le désarroi.
Prenez Mukesh, par exemple, ce vieil homme veuf et solitaire qui n’ouvrait jamais un livre, va, grâce à ses visites à la bibliothèque, découvrir le plaisir de la lecture et des échanges avec d’autres lecteurs.
« Elle était ma femme. J’aurais dû prêter attention aux livres qu’elle appréciait. J’aimais la regarder lire sans avoir l’idée de lui demander ce qu’il se passait dans ces romans. Je me sens un peu ridicule de commencer à lire à mon âge. »
« Il n’est jamais trop tard » lui répond Aleisha, qui travaille sans passion à la bibliothèque. Elle n’est guère attirée par la lecture, ayant mille choses plus urgentes à faire. Mais tout change lorsqu’elle tombe sur cette mystérieuse liste de lecture qui ressemble à une liste de courses et qui titille sa curiosité.
Les personnages sont nombreux, au risque de s’y perdre un peu, mais l’histoire est un peu la même à chaque rencontre. Quant à la lecture qui fait du bien et fait rêver, on voudrait bien y croire un petit peu, mais chez moi, ça n’a pas pris.
Ce roman est un best-seller traduit en 12 langues, doit-on en déduire que la lecture thérapie a fait des adeptes ?
Si l’histoire, plaisante et pleine de bons sentiments mais sans beaucoup de profondeur, ne m’a pas vraiment conquise, j’ai été très déçue par l’écriture banale et les dialogues bavards. 500 pages, c’est beaucoup trop long à mon humble avis.
Ce best-seller est pour moi un roman léger et estival.
Je remercie les éditons J’ai lu et Lecteur.com pour cette découverte
Gros coup de coeur pour ce livre, j'ai rigolé, pleuré, on parle ici de relation, de pouvoir des mots, de pouvoir de guérison grâce au lectures. L'autrice dans cette intrigue aborde la maladie, le deuil, la solitude, l'amour, l'amitié, la littérature, l'absence de l'être chère. Les personnages sont touchants et attachants. La plume de l'autrice est fluide, sensible, douce et profonde, une lecture bouleversante et triste.
"S'il vous plaît, essayez de vous rappeler que les livres ne sont pas toujours une évasion, parfois les livres nous apprennent des choses. Ils nous montrent le monde, ils ne le cachent pas."
"J'ai rencontré ces livres au bon moment de ma vie. Je me les rappelle avec précisions. Je me souviens de leurs personnages comme d'amis, parfois des membres de ma famille. Je sais où j'étais et comment je me sentais en tournant leur dernière page. Ils ne m'ont plus quittée."
Elle a tellement raison de plonger dans les livres.
Son travail l'amenait à manipuler cet objet quelquefois trop lourd, trop grand ou trop abîmé et voilà qu'à l'intérieur elle découvre l'immatériel . Des lettres, des mots, des phrases, des paragraphes, des chapitres.... un livre !
Elle a tellement de raisons de plonger dans un livre.
Qui l'éloigne, la rapproche, l'isole, l'unit...
Et dans ma poche, dans mes poches, des coquillages, coquilles nacrées et brindilles de bois flotté, recoltés chaque fois que je me promène sur le sable de cette plage où les cendres de mon papa se sont envolées il y a quatre ans déjà.
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