Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Ce captivant roman est axé autour d'une phrase que dit le narrateur Edmond Plantier : «Je sais que ce qui n'existe pas ne peut pas mourir.» Comme le recommencement des images qui passent dans une lanterne magique, «je parle tout seul, je tourne, je vire, je suis prisonnier de la lanterne», les mêmes situations psychologiques se reproduisent, se superposent, s'acharnent à enfermer l'ajusteur Plantier dans les pièges toujours semblables de la trahison, de la solitude. À son retour d'Australie, c'est par l'imagination qu'il cherchera à s'évader une autre fois. Il inventera l'improbable Julia dont Thomas - qui représente tout ce qu'il voudrait être et qu'il ne sera jamais - lui avait, à Sydney, suggéré le visage, les gestes, la démarche. Edmond réussira-t-il à se survivre ? C'est la question que pose ce récit où le morcellement du temps, des épisodes, des êtres, conté avec une violence rapide, reconstitue peu à peu les jeux les plus insaisissables du fonctionnement psychique.
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