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La poésie, ça bouge, non ? Ça bouge, donc ça vit.
Les mouvements, ça ressemble toujours à de la vie, même quand ça meurt, que ce sont des soubresauts de moribond. Le sentiment que ça vit est le plus fort (la poésie, ça ne peut pas mourir quand même !), plus fort même que l'observation de la réalité. D'ailleurs la réalité, c'est quoi ? C'est qu'on trouve des livres, on continue d'en trouver, on n'en manque pas. Chaque fois qu'on en veut, on en trouve des livres.
Dans les librairies. C'est comme un pack de lait, dès qu'on en veut on en trouve. Et pas la peine à chaque fois de se demander c'est quoi une vache, c'est quoi un poète ! Et s'il y a un lien, à chaque fois, entre les bêtes à cornes debout dans les prés et le lait du pack. Qu'est-ce qui prouve d'ailleurs qu'il y a un lien, c'est vous qui le dites, qu'il y a un lien. Claude Vercey
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