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Ce que vivre m'a appris ; éloge de la médiocrité, du politiquement correct et de la bien-pensance

Couverture du livre « Ce que vivre m'a appris ; éloge de la médiocrité, du politiquement correct et de la bien-pensance » de Pascal Bouchard aux éditions Fabert
  • Date de parution :
  • Editeur : Fabert
  • EAN : 9782849224465
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

A quoi sert la démocratie, que nous invoquons si souvent sans savoir ce que nous mettons sous ce mot ? La Nature, le Peuple, le Savoir, le Travail... ne génèrent-ils pas de nouvelles formes de religiosité ? Comment fonctionne la transcendance aujourd'hui ? Est-ce un bien, est-ce un mal ? A quoi... Voir plus

A quoi sert la démocratie, que nous invoquons si souvent sans savoir ce que nous mettons sous ce mot ? La Nature, le Peuple, le Savoir, le Travail... ne génèrent-ils pas de nouvelles formes de religiosité ? Comment fonctionne la transcendance aujourd'hui ? Est-ce un bien, est-ce un mal ? A quoi sert la psychanalyse ? A quoi sert l'Ecole ? Comment fonder une nouvelle morale publique ? Quel discours doit tenir celui (ou celle) qui sera élue (ou réélu) à la présidence de la République ? Ce sont quelques-unes des questions auxquelles Pascal Bouchard a trouvé des éléments de réponse, à force de vivre.

Puisant dans son expérience et dans sa culture, il nous propose un parcours philosophique, de façon à inscrire les questions de notre temps dans une perspective anthropologique, mais en termes toujours très simples. Et il définit une nouvelle ambition pour la République : redonner aux citoyens, par des moyens très concrets, et sans qu'il soit besoin d'une grande réforme constitutionnelle, les moyens de rêver ensemble leur avenir, de se le raconter, et d'imposer aux politiques leur intelligence.

Certains s'imaginent que les consensus sont nécessairement «mous», médiocres. C'est évidemment faux, quand les conditions sont remplies, au terme de débats réellement contradictoires, les gens sont intelligents. Mais quand bien même le prix à payer pour des réformes moins décisives que ne le voudraient nos meilleurs experts, mais acceptées dans la paix civile.

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