Cantilènes à la gloire de mon soleil essaie de traduire l'épaisseur de la vie, à travers une pensée poétique éprise de bienfaisance ou de bonheur pour toute l'humanité sur la Terre. Le lecteur, son « meilleur ennemi » selon Malick Soumah, ne lit donc pas simplement un poème, mais toute une vie et toute une vision de la vie que le poète exprime, des confidences sur ce qu'il en ressent et qu'il veut faire ressentir, parce que le monde et la vie entière sont pour lui toute une poésie.
Il faut donc en traduire toutes les sensations : le temps dans sa triple dimension (hier, aujourd'hui, demain) ; les relations constructives et constitutives de la vie de l'homme avec ses semblables et ses rapports avec l'univers tout entier.
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