80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Lire « Bazarnaüm » (et autres époustouflures), treize contes teintés d'immoralité et d'humour, c'est une expérience qui va au-delà de la vue d'un feu d'artifice de 14 juillet, de l'écoute d'un impromptu de Léopold Lebelge, du suçotage d'une bêtise de Cambrai ; À déconseiller aux radins, aux calotins goitreux et autres tristes sirés coincés du fion.
Bernard Hector, né en 1950, a exercé une foultitude de métiers divers qu'il serait vain de résumer.
Végétarien, homosexuel notoire et comme tout gentleman ne fait jamais de sport, il déteste les panurgistes et les curés, il aime à raconter de vrais mensonges qui, selon lui, ne sont là que pour embellir la vie.
Il envisage de consacrer les cinquante prochaines années de sa vie à se ramollir le cerveau ainsi qu'à l'écriture de nombreuses improbables nouvelles.
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