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Baroque sarabande

Couverture du livre « Baroque sarabande » de Christiane Taubira aux éditions Philippe Rey
Résumé:

« Quoi que vous cherchiez à savoir ou à ressentir, à comprendre ou à percevoir, à saisir ou à entrevoir, quelque part un livre répond à votre quête. En procurant plaisir, volupté, félicité.
Lire. Toute l'énergie, la passion, le bien-être et le tourment d'une vie ardente. » Ch. T.

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« Quoi que vous cherchiez à savoir ou à ressentir, à comprendre ou à percevoir, à saisir ou à entrevoir, quelque part un livre répond à votre quête. En procurant plaisir, volupté, félicité.
Lire. Toute l'énergie, la passion, le bien-être et le tourment d'une vie ardente. » Ch. T.

Dans cet ouvrage passionnant, Christiane Taubira rend hommage aux livres et aux écrivains qui l'ont façonnée. De son enfance à Cayenne - où les lectures des jeunes filles étaient sévèrement contrôlées - à aujourd'hui, les auteurs et leurs oeuvres défilent : Aimé Césaire, Léon-Gontran Damas, Gabriel García Márquez, René Char, Yachar Kemal, Simone Weil, Toni Morrison, et tant d'autres...
Éveil de sa conscience sociale par les romans engagés, découverte de la force de renouvellement de la langue, relecture de l'histoire grâce à la pertinence de la littérature, convocation des auteurs au moment de ses grands discours politiques : Christiane Taubira raconte tout ce qu'elle doit aux infinies ressources des livres.
Car la lecture, cette « vie ardente », n'est-elle pas le meilleur moyen de conquérir sa liberté ?

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Avis (2)

  • "Dans cet aouvrage passionnant, Christiane Taubira rend hommage aux livres et aux écrivains qui l'ont façonnée..... "
    Une quatrième de couverture prometteuse qui éveille la curiosité passionnée du lecteur....
    Mais -malheureusement- la Christiane Taubira à l'écrit est très, très loin de la...
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    "Dans cet aouvrage passionnant, Christiane Taubira rend hommage aux livres et aux écrivains qui l'ont façonnée..... "
    Une quatrième de couverture prometteuse qui éveille la curiosité passionnée du lecteur....
    Mais -malheureusement- la Christiane Taubira à l'écrit est très, très loin de la figure passionnée qui défend la littérature à l'oral.

    Un ouvrage que j'ai dû abandonner au bout de 62 pages (la première partie) tant l'auteur noie le lecteur dans une surabondance de références liitéraires majoritairement méconnues. Un étalage d'une culture artistique -certes impressionnante -mais livrée à la pelle dans un chaos indescriptible et désorganisé. Le tout servi par un style ampoulé et savant.. un repoussoir !
    L'auteur nous éclabousse de sa culture artistique diversifiée (littérature, musique, .... ) et nous en ressortons mouillés et sans l'envie d'y revenir.
    Une petit lumière néanmoins dans cette "surabondance baroque"... sa passion pour Aimé Césaire, qui transpire à chaque page.

    Défendre la littérature est un combat noble qui mérite le respect de tous. Christiane Taubira est une idéaliste, passionnée. Elle sait magnifiquement faire passer le message lors des interviews. Mais le traduire en mots en un travail plus structuré. Elle ne semble -à aucun moment - se mettre à la place du lecteur qui cherche passion et fluidité.
    Un vrai regret !

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  • On ne présente plus Christiane Taubira, ce personnage adulé ou détesté..politiquement parlant!! mais on peut lire ses écrits quelle que soit notre couleur politique! J'ai entamé ce livre pleine d'espoir, j'attendais peut être beaucoup..trop..et je n'y ai pas trouvé mon compte!
    Je fréquente la...
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    On ne présente plus Christiane Taubira, ce personnage adulé ou détesté..politiquement parlant!! mais on peut lire ses écrits quelle que soit notre couleur politique! J'ai entamé ce livre pleine d'espoir, j'attendais peut être beaucoup..trop..et je n'y ai pas trouvé mon compte!
    Je fréquente la caraïbe anglaise par ses poètes et ses écrivains, je pensais trouver une chaleur que je n'ai pas décelée..mais j'ai lu des listes de noms, connus certes mais des listes, trop!!
    certes des envolées, notamment vers la fin, des décisions " si nous soldions"..
    J'y ai cru, page 79.."la langue maternelle..chez soi" et puis encore, le soufflé est retombé sauf..les trois dernières pages que j'ai adorées..

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