80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
J'exprimais dans mon premier ouvrage : "La griffe du chat", mon combat contre le cancer, puis le décès brutal de mon mari, suite à une griffure de chaton. Le cours de ma vie m'a fait rencontrer un homme, Bernard, que j'ai aimé, jusqu'à l'accompagner dans un terrible combat. Celui de se retrouver confronté à une maladie incurable, dont la seule issue possible est la mort. Ces mots ont été pour moi un secours, pour tenter de faire mon travail de deuil. "Pour beaucoup, vous n'avez pas compris mes réactions, où je "pardonnais" tout, à celui qui me faisait tant de mal. Mais, ce n'était plus l'homme que j'ai connu, celui que j'ai aimé. Il est devenu un homme malade, aigri, en souffrances physiques, et morales, au plus haut point. Il ne pouvait exprimer son supplice et son désespoir qu'à la personne la plus intime de sa vie, c'est-à-dire : moi. Et je l'ai accepté, oui, bien volontairement. Et je n'en ai jamais été blessée."
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