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Tran-Nhut

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Le temple de la grue écarlate » de Tran-Nhut aux éditions Picquier

    Cyan sur Le temple de la grue écarlate de Tran-Nhut

    Le mandarin Tân, fraîchement nommé dans une ville de montagnes du nord de l’Empire vietnamien, est confronté au meurtre particulièrement sauvage d’un enfant handicapé.

    L’enquête est assez prenante et bien menée, les autrices mènent leur barque avec efficacité tout en donnant au lecteur-ice-s...
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    Le mandarin Tân, fraîchement nommé dans une ville de montagnes du nord de l’Empire vietnamien, est confronté au meurtre particulièrement sauvage d’un enfant handicapé.

    L’enquête est assez prenante et bien menée, les autrices mènent leur barque avec efficacité tout en donnant au lecteur-ice-s suffisamment d’éléments pour essayer de résoudre le mystère.

    Le plus grand intérêt du roman réside cependant plus dans son contexte: le Vietnam au 17e siècle. On apprend énormément de choses sur la vie des gens à l’époque et à cet endroit précis (loin du gouvernement central), sur les coutumes, les croyances, la politique, etc. Il y a de très belles descriptions des paysages et des vêtements. Et pour le dépaysement, on est servi-e-s! Il est également question de la condition des femmes et des enfants. Concernant ces derniers, si le sujet des maltraitances infantiles est trop sensible pour vous, soyez prévenu-e-s que certains passages du roman qui en traitent sont très choquants.

    Je reprocherai à ce livre quelques longueurs, mais dans l’ensemble j’ai passé un bon moment avec le mandarin Tân. Je n’éprouve pas spécialement d’impatience à lire les autres tomes, mais à l’occasion je m’y plongerai avec plaisir.

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    Couverture du livre « La poudre noire de maître Hou » de Tran-Nhut aux éditions Picquier

    Galirad sur La poudre noire de maître Hou de Tran-Nhut

    Rares sont les romans policiers n’étant pas ancrés dans le monde contemporain : celui-ci en fait partie puisque l’histoire se déroule au début des années seize cents.
    Là n’est pas sa seule originalité ! Ici point de commissaire mais un mandarin, point d’inspecteur mais un précieux lettré...
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    Rares sont les romans policiers n’étant pas ancrés dans le monde contemporain : celui-ci en fait partie puisque l’histoire se déroule au début des années seize cents.
    Là n’est pas sa seule originalité ! Ici point de commissaire mais un mandarin, point d’inspecteur mais un précieux lettré répondant au nom de Dinh. Le pittoresque du roman s’étend jusqu’à ses auteurs, car il est écrit à plusieurs : les sœurs Tran-Nhut.
    Même si au départ toutes ces nouvelles données déroutent franchement, le lecteur s’adapte assez rapidement. L’ambiance d'Asie du sud-est est incontestablement bien rendue et offre une réelle fraîcheur à la composition. Cependant, l’intrigue manque un peu de pertinence et sans doute aussi de crédibilité.
    Heureusement que le roman est délicatement teinté de poésie extrême-orientale, poésie se mariant merveilleusement bien avec une certaine inconsistance générale.