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Olivier Boiscommun

Olivier Boiscommun
1971 Né le 19 mars 1971 à Neuilly-sur-Seine, le jeune Boiscommun découvre la B.D. avec les aventures d'Astérix, tintin, gaston et spirou. Une fois adulte ce sont Bilal et Loisel qui lui donneront envie d'en faire son métier. Après le lycée d'Arts Graphiques de Corvisart, à Paris, et une première... Voir plus
1971 Né le 19 mars 1971 à Neuilly-sur-Seine, le jeune Boiscommun découvre la B.D. avec les aventures d'Astérix, tintin, gaston et spirou. Une fois adulte ce sont Bilal et Loisel qui lui donneront envie d'en faire son métier. Après le lycée d'Arts Graphiques de Corvisart, à Paris, et une première année aux Beaux Art de Orléans, il travaille dans le stylisme, dessinant des maillots de bain et des motifs pour divers tissus et tee-shirt. En 1992 il frappe a la porte des éditions Delcourt pour un premier contact. Il reprend ses études en 1993 en intégrant les Beaux-Arts d'Angoulême en deuxième année. 1994 Chez Delcourt, il réalise Renaissance, une histoire courte pour le troisième recueil collectif Les Enfants du Nil, dont il signe également la couverture. 1995 Premier album, Joe, chez Le Cycliste. 1996-1997 Troll, T1 et 2, avec Morvan et Sfar, chez Delcourt. 1998 Halloween, chez Le Cycliste. 1999 Troll, T 3, avec Morvan et Sfar, chez Delcourt 2000 Le Livre de Jack , avec Denis-Pierre Filippi, chez Humanoïdes Associés. 2001 Anges T1, avec Dieter, chez Humanoïdes Associés. Rature Pendragon, avec Alain Goutal , chez Aux bord des continents. 2002 Le Livre de Sam, avec Denis-Pierre Filippi, chez Humanoïdes Associés. 2004 Anges T2, avec Dieter, chez Humanoïdes Associés. 2005 L'Histoire de Joe, chez les Humanoïdes associés. Anges T3, chez les Humanoïdes associés. 2006 Les Humanos rééditent "Halloween", avec plusieurs pages inédites et une nouvelle couverture. Une histoire pleine d'émotion et de poésie.

Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « Les Apprentis : Du miel et des cailloux » de Olivier Gay et Olivier Boiscommun aux éditions Drakoo

    Les Fantasy d'Amanda sur Les Apprentis : Du miel et des cailloux de Olivier Gay - Olivier Boiscommun

    Avec Les Apprentis, je retourne dans l'imaginaire d'Olivier Gay et je ne suis pas déçue du voyage. Cette BD est l'équilibre parfait entre action et humour, les héros rehaussant ce dernier point. Hilarants malgré eux, ils sont à la fois attachants et stupidement courageux dans leur désir de mener...
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    Avec Les Apprentis, je retourne dans l'imaginaire d'Olivier Gay et je ne suis pas déçue du voyage. Cette BD est l'équilibre parfait entre action et humour, les héros rehaussant ce dernier point. Hilarants malgré eux, ils sont à la fois attachants et stupidement courageux dans leur désir de mener leur quête à bien.

    Attention, le scénario et l'univers ne sont pas en reste. Sans être complexes, ils sont suffisamment fouillés pour livrer au lecteur un récit captivant, accompagné de quelques tranches de rire. À découvrir !

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    Découvrez d'autres chroniques sur mon blog spécialisé en imaginaire : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/

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    Couverture du livre « Danthrakon Tome 1 : le grimoire glouton » de Olivier Boiscommun et Christophe Arleston aux éditions Drakoo

    Annie Boucher sur Danthrakon Tome 1 : le grimoire glouton de Olivier Boiscommun - Christophe Arleston

    Cité de Kompiam où cohabitent de nombreuses races.
    Les Kohatolas, batraces dont le chef est Rumbopöh, les Bursus, plantigrades, les Nabires, dragonidés, les Mandrioles, reptiliens et les humains.
    Nuwan, jeune humain est apprenti marmiton chez un grand magicien. La belle Lerëh lui apprend...
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    Cité de Kompiam où cohabitent de nombreuses races.
    Les Kohatolas, batraces dont le chef est Rumbopöh, les Bursus, plantigrades, les Nabires, dragonidés, les Mandrioles, reptiliens et les humains.
    Nuwan, jeune humain est apprenti marmiton chez un grand magicien. La belle Lerëh lui apprend secrètement à lire . Un soir, elle le laisse seul dans la bibliothèque. Il va ouvrir un vieux grimoire le Danthrakon. La magie de l'ouvrage va entrer en lui et changer son sang en encre. Les pages du grimoire deviennent blanches.
    Il va être poursuivi par un terrible inquisiteur. Mais des pouvoirs lui apparaissent ....
    Première BD qui comporte trois volumes. De belles couleurs et un très beau graphisme . J'ai hâte de connaître la suite des aventures de Nuwan.
    Je remercie le Fnac pour cette découverte et Olivier Boiscommun pour sa dédicace de Lerëh.

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    Couverture du livre « La baleine blanche des mers mortes » de Olivier Boiscommun et Aurelie Wellenstein aux éditions Drakoo

    ziggy sur La baleine blanche des mers mortes de Olivier Boiscommun - Aurelie Wellenstein

    Nous sommes dans un Paris futuriste post apocalyptique où les mers et les océans ont disparus, dévorés, avalés, acidifiés, pollués, étouffés par les plastiques , hydrocarbures et métaux lourds. L’eau s’est évaporée et tous les animaux sont morts. La plupart des gens n’avaient pas mesuré la...
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    Nous sommes dans un Paris futuriste post apocalyptique où les mers et les océans ont disparus, dévorés, avalés, acidifiés, pollués, étouffés par les plastiques , hydrocarbures et métaux lourds. L’eau s’est évaporée et tous les animaux sont morts. La plupart des gens n’avaient pas mesuré la relation intime qui liait la santé des océans et la leur. Les survivants s’accrochaient de toutes leurs forces dans ce monde qui tombait en poussière entre deux « marées hautes ». Massacré avec violence, le fantôme des mers mortes revenait hanter les hommes lors de phénomènes baptisés « les marée hautes », aléatoires, parfois courtes , parfois longues, mais toujours mortelles. La mer fantôme se jouait des murs et des distances, elle engloutissait le monde et personne n’était épargné. Ses eaux ne noyaient pas les humains mais elles portaient ses soldats: les animaux fantômes unis par la vengeance qui se nourrissaient de l’âme des survivants.
    C’est lors d’une marée haute que Bengale, personnage au passé trouble, va rencontrer Chrysaora qui danse avec les méduses et ne semble bizarrement pas en danger. Ils sont toutefois sauvés par une bande d’exorcistes qui les emmènent dans les ruines de l’Opéra Garnier où ils jouent pour une grande baleine blanche afin qu’elle rende l’âme de Jonas, le fils d’Herman leur chef, âme qu’elle lui a en partie siphonné. Mais, quels vont être les rôles de Bengale et Chrysaora dans cette aventure ?
    Olivier Boiscommun illustre ici le roman d’Aurélie Wellenstein « Mers mortes » qui mêle subtilement fantasy, récit postapocalyptique et drame écologique.
    Son dessin est magnifique et pare ce futur cauchemardesque de couleurs directes, intenses, chatoyantes sans rien enlever de la violence et de l’émotion contenues dans le récit. On retrouve également la patte graphique d’Olivier Boiscommun dans ses personnages aux traits légèrement elfiques.

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    Couverture du livre « La baleine blanche des mers mortes » de Olivier Boiscommun et Aurelie Wellenstein aux éditions Drakoo

    Maitre_Bruce sur La baleine blanche des mers mortes de Olivier Boiscommun - Aurelie Wellenstein

    L'intention était bonne mais j'ai trouvé l'ensemble plutôt survolé. J'ai l'impression d'avoir lu un tome d'une série plutôt qu'un one shot.

    Malgré le format, on en apprend assez sur les personnages pour s'attacher un tant soit peu à eux. Mais j'aurai apprécié un développement plus précis sur...
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    L'intention était bonne mais j'ai trouvé l'ensemble plutôt survolé. J'ai l'impression d'avoir lu un tome d'une série plutôt qu'un one shot.

    Malgré le format, on en apprend assez sur les personnages pour s'attacher un tant soit peu à eux. Mais j'aurai apprécié un développement plus précis sur le passé de nos 2 héros. Surtout quand je vois qu'à la fin, nous avons un résumé sous forme de journal de l'arrivée à Paris de l'héroïne. Cette partie d'ailleurs est très bien écrite mais justement, pourquoi ne pas l'avoir mis en image au début de la bd?

    Et puis tout va trop vite, l'objectif est atteint et nous sommes à la fin. Dommage car il y avait un gros potentiel pour faire plus.

    Visuellement, c'est très beau, et ça colle bien à l'ensemble, sorte de poésie horrifique qui ne manque pas d'être violente par moment. C'est le gros point positif de cette bd, les planches sont un délice pour les yeux d'autant plus que le format franco belge les met bien en valeur.

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