"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les Editions Eaux Troubles ont eu la gentillesse de proposer plusieurs titres en lecture, merci à eux, et j’ai sauté sur l’occasion pour tenter une nouvelle fois de lire les romans d’espionnage de Mark Zellweger.
Ce roman aborde une histoire dans l’Histoire du 20ème siècle, la vie des espionnes suisses pendant la guerre de 39-45 et dans le même temps l’organisation des renseignements internationaux, basés à Genève malgré la neutralité de la Suisse.
Le côté historique du roman est vraiment intéressant mais l’écriture sans vivacité rend ces actions et ces moments très anodins, banalisant des comportements qui n’auraient pas dû l’être !
J’ai parfois eu la sensation que l’auteur livrait une liste de faits sans vraiment romancer afin de sortir le livre de l’essai rébarbatif qu’il peut prendre par moment.
Ceci ne m’a pas empêché de saluer le courage et l’implication sans faille des Louves qui ont œuvré pour repousser la barbarie nazie. Le livre est basé sur des témoignages avérant les faits. Je constate malgré mon intérêt pour le fond historique j’ai beaucoup de mal avec l’écriture de l’auteur, souvent trop simple et trop académique à mon goût !
#lesespionnesdusaleve #lenversdumiroir
Berlin, 1948
Une amitié totalement improbable lie Alexei et John, l'un membre des services secrets soviétiques, l'autre agent en vue de la CIA ! Lors de soirées dans un bar ils rencontrent deux jolies jeunes filles, l'une russe, semble elle aussi espionne, l'autre est une gentille petite allemande.
John parcourt l'Europe en tous sens à la recherche d'une taupe, allant de Londres à Istanbul, en passant par Moscou mais en restant fidèle à Berlin, sa ville préférée, même si elle est encore très meurtrie.
Entre deux rencontres de nos héros, l'auteur distille ses connaissances sur la vie dans la capitale allemande en 1948, la recherche nucléaire aux USA et en Union Soviétique, l'affaire Rosenberg, les taupes anglaises et les goulags.
Tout cela donne au final un roman assez brouillon où j'ai parfois eu du mal à retrouver un fil conducteur, d'autant plus que des tournures de phrases et des termes un peu vieillots desservaient le propos..
Le style aurait également gagné à être plus concis et les descriptions resserrées ...
Dommage ... mais par un effet collatéral, j'ai désormais envie de me replonger dans des romans de John Le Carré qui est, lui, le maître de l'espionnage au véritable talent littéraire.
Merci à NetGalleyFrance et aux Editions Eaux troubles de me l'avoir mis à disposition !
#Frèresennemis #NetGalleyFrance
Je ne suis pas vraiment fan d'espionnage, mais j'aime beaucoup l'histoire. Le souvenir d'une très bonne lecture du roman de Ken Follett « le réseau Corneille » m'a fait m'intéresser à la série de Mark Zellweger Les espionnes du Salève.
Après un premier tome, L'envers du miroir qui, foisonnant d'informations, de personnages nous en mettait nécessairement plein la tête et rendait de fait, la lecture un peu fastueuse, Mark nous offre avec ce second tome, Bletchley Park, un roman qui se dévore comme un thriller.
J'ai en plus d'avoir vraiment apprécié cette lecture, retrouvé ce qui m'avait beaucoup plus au premier opus, ce travail documentaire soigné, et ces femmes dont les actions sont malheureusement trop peu connues.
Merci Mark, de nous rendre accessible l'Histoire en nous permettant en plus de passer un agréable moment. Merci d'être le porte-parole de ces femmes.
Merci à Netgalley et aux éditions eaux troubles pour ce roman.
Année 1941, un groupe de femmes, espionnes, basées en Suisse à Bletchley Park, n’hésite pas à se mettre en danger.
Bon apparemment ce n’est pas le premier tome hihihi.
J’ai découvert avec ce livre un sacré travail de recherches incroyable et Mark a su allier Histoire et fiction.
C’est franchement un livre très intéressant pour les inconditionnels de cette époque et pour ne pas oublier cette affreuse période.
C’est un ouvrage attrayant et une belle découverte de ce travail d’espionnage méconnu, voire inconnu. C’est aussi la découverte du début des camps de la mort.
L’écriture est belle et facile à lire.
J’ai trouvé le début un peu long à cause de nombreux noms à retenir mais un peu nécessaire pour replacer les évènements du moment.
Ensuite, je n’avais qu’une envie, retrouver rapidement l’histoire de ces femmes qui œuvrent en France, en Lybie, en Norvège à la recherche de l’eau lourde, en Angleterre, …
Celle de Hannah en particulier, m’a beaucoup touchée.
Je me suis beaucoup attachée à ces courageuses femmes .
C’est le premier livre de Mark que je lis, et c’est sincèrement un livre à découvrir. Ce n’est pas mon habitude de lecture, mais je ne le regrette absolument pas. J’ai beaucoup aimé.
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