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Dernier tome de la saga de L’Assassin Royal de Robin Hobb. Un dénouement à la hauteur. Ce dixième album, qui pour une adaptation en bande dessinée, propose un final fantastique. Fidèle aux romans, cette adaptation même simplifiée est très réaliste. Les pièces du puzzle sont bien mises en place et la vue se dégage. Impossible ici, maintenant, de vous raconter l’histoire de cet ultime album. C’est une soixantaine de pages pleines de rebondissements. Le graphisme est encore mieux réalisé. Les personnages, les décors, tout est propre, comme on l’aime. C’est un album à la limite de la perfection et qui termine une belle saga. Au terme de ces dix albums, l’adaptation de L’Assassin Royal est superbement maîtrisée. A lire bien sûr, je vous le recommande.
Retour dans le passé. Fitz retrouve le Fou, qui malgré lui suscite des jalousies. L’Art est présent dans cet album. Les héros doivent répondre aux attaques des ennemis de Fitz tout en parcourant les anciennes routes. C’est un album important, un peu moins épique, mais extrêmement porteur dans le récit. Beaucoup de pièces se mettent en place et le puzzle se termine petit à petit. Nous n’avons pas encore la vue d’ensemble, mais cet album ainsi que le précédent nous révèle un final fantastique. Au niveau du graphisme, c’est toujours aussi bien réalisé, il n’y a rien à dire, j’aime beaucoup le travail général, les personnages, les décors, tout est fait pour faire de chaque album de beaux albums.
Le personnage d’Astérie la ménestrelle est l’un des personnages de cette fin de la saga qui prend de plus en plus d’importance. Elle suit Fitz persuadée qu’elle pourra assister à des événements qui lui permettront de chanter les plus grands moments du héros que va devenir le bâtard. Le récit est bien construit, avec des scènes violentes mais surtout nous avons droit à beaucoup d’explications sur ces éléments qu’on ne comprenait pas trop bien. Fitz est toujours poursuivi par les sbires de Royal. Graphiquement, la bande dessinée est vraiment réalisée avec justesse. Les personnages sont réalistes et les décors sont fournis sans être fouillis.
En somme, un très bon album qui est l’un des meilleurs de la saga.
Episode important dans lequel Fitz fait des découvertes toutes aussi importante. Il se rend compte qu’il n’est pas seul à utiliser le vif, et surtout que sa vengeance est toujours une envie puissante en lui. Le personnage reste passionnant et la quête semble longue et semée d’embûches. Cette saga est vraiment bien réalisée, l’adaptation est réussie et propose malgré les albums qui se succèdent un moment de lecture toujours aussi plaisant. Le graphisme est toujours époustouflant. J’adore les personnages et leurs expressions. Un très bon album encore une fois, à lire.
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