"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Anton, 24 ans, pianiste solitaire, prépare le célèbre concours Liszt. Il rêve de remporter ce concours mais la concurrence est importante.
Afin de mettre toutes les chances de son côté, il doit trouver un mentor, son amie Dorothée lui suggère la célèbre et talentueuse Maud Szabor ? mais sa liste d’attente est tellement grande et puis quelle histoire se cache derrière cette femme si intrigante ? Et sa famille ?
Il a besoin de Maud mais aussi de se trouver lui même….
Il présentera la célèbre sonate en si mineur de Liszt !
Pourquoi cette Sonate ?
Parce qu’il en est amoureux !
Cette rencontre avec Maud Szabor va emmener Anton bien au delà de l’apprentissage du piano, il va se découvrir lui même, travailler sa technique, ses muscles mais aussi découvrir des atrocités de la guerre.
Je me suis complètement laissée embarquer dans cette belle histoire mêlant histoire et musique, c’est aussi une magnifique déclaration d’amour à la musique classique, à l’exigence, la rigueur, à l’amour…..
Au-delà du travail, la musique devient vitale. On sent la force et la puissance des notes !
J’ai adoré ❤️
Et puis ce roman donne tellement envie d’écouter Liszt !
Anton Bauer est un virtuose du piano. Il est solitaire, n'aime pas la foule. Il vit à Brooklyn dans un sous-sol. Sa seule et unique amie est Dorothée, une chanteuse lyrique. Ils se sont connus au conservatoire.
Anton est demi-finaliste au concours de piano Franz Liszt. Il n'est pas prêt et il veut présenter la sonate en si mineur. Il lui faut un mentor, et ce mentor sera Maud Szabor.
La musique et l'Histoire se mêlent, s'emmêlent et s'entremêlent.
Un livre musical qui nous embarque dans le répertoire de Liszt, dans les coulisses de la préparation d'un jeune concertiste.
Les virtuoses de Brooklyn est un premier roman. La plume de Fabienne Lips-Dumas est dynamique et nerveuse.
J'ai aimé tout ce qui avait attrait à la musique, au déchiffrage, à la technique, au piano, au concert, aux coulisses. J'ai aimé que la petite histoire s'intègre dans la grande Histoire. Mais, cette grande Histoireest arrivée comme un cheveu sur la soupe. J'ai trouvé un peu artificiel la façondont s'était mené et amené. Un manque de fluidité.
J'ai par contre été beaucoup moins passionnée par l'histoire en elle-même, la petite histoire. Dorothée et Anton m'ont laissé de marbre, leur amitié aussi. Maud et ses silences, Anton et ses phobies.
De même la construction du récit et les dialogues m'ont laissé sur ma faim.
Une lecture en demi-teinte mais que j'ai été contente de découvrir.
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