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Un beau rêve ou la métamorphose
L'auteur, rencontré lors du salon du livre au Mans en 2019, m'avait prévenue, "c'est mon seul roman non historique !", mais j'ai voulu essayer…
Un jeune homme Raphaël Granger se réveille dans la chambre d'une demeure inconnue, la Villa Imago.
Il ne se rappelle pas comment il est arrivé ici ; son dernier souvenir, remonte à un voyage en train.
Il rencontre le "dirigeant" de cette belle maison, Matthias, puis les autres résidents.
Personne ne veut lui révéler pourquoi et comment il est arrivé ici. Il ne peut s'enfuir, ne peut téléphoner et commence alors à s'intégrer et discuter avec les autres.
C'est un peu le scénario du téléfilm britannique "Le prisonnier"... Il ne sait pas pourquoi il est là, les gens sont un peu étranges et il ne peut partir de ce domaine.
Un vieillard, un colonel alcoolique, deux femmes bien gentilles, une petite fille et un adolescent rebelle sont les autres personnes présentes avec lui.
Une nuit il assiste au départ vers la forêt environnante du vieillard, salué par tous les résidents.
L'intrigue est très (trop) vite révélée et cela a nuit à ma lecture, même si je l'avais devinée assez rapidement.
Le style de Eric Marchal manque de profondeur et de réalisme ; sur ce thème, il aurait pû développer les réflexions, or on assiste plus à des parties de scrabble et de soirées, comme dans un centre de vacances…
Comme si l'auteur désirait que cette Villa existe, comme s'il l'avait inventée pour son propre bonheur, sa confiance en la vie…
J'ai trouvé ce roman particulièrement triste et indolent.
Donc, une fois, le secret dévoilé, je me suis ennuyée et j'ai été déçue.
Voilà le premier tome d’un triptyque signé Eric Marchal. L’auteur, prolifique, nous emmène cette fois-ci à Venise au 18ème siècle.
Tout commence par un concert rassemblant des musiciennes de la Pietà et des Incurabili. Un concert somme toute anodin même si, dans la Venise des masques et des secrets, il s’y joue bien davantage que des notes de musique.
Le balcon des musiciennes s’effondre et Azlan de Cornelli, chirurgien, doit abandonner l’autopsie non autorisée qu’il pratiquait pour soigner les blessés. Il sera aidé par un mystérieux inconnu qui se révèlera excellent soignant également. Quant à Maria Dalla Viola, musicienne qui jouait ce soir-là, son plan visant à profiter de ce concert pour s’enfuir avec son amoureux est réduit en cendres.
Tous ses destins vont s’enchevêtrer pour une quête plus grande : la recherche d’un mystérieux Codex Quanum.
Un ouvrage qui permettrait des progrès significatifs de la médecine mais qui a été caché, de façon très complexe, afin d’échapper à un ordre secret qui le recherche pour assouvir sa quête de l’immortalité.
Ce roman historique est une retrouvaille pour moi de la plume d’Eric Marchal. Celle-ci est toujours alerte, les rebondissements se succèdent sans temps morts. Avec une mention spéciale pour les interventions chirurgicales et la médecine de cette époque que j’aime toujours autant découvrir.
La cadre choisi est tout à fait fascinant, j’ai aimé évolué dans cette ville mystérieuse, avec ses luttes de pouvoirs et ses traditions.
Cette lecture fut donc agréable même si j’aurais aimé, reproche que j’ai déjà formulé avec cet auteur, que les personnages aient plus d’aspérités, que les héros semblent moins lisses dans leur psychologie.
Un premier tome, malgré tout, réussi pour les amateurs de romans historiques avec des sociétés secrètes.
Eric Marchal, chercheur en immunologie de formation est messin ce qui m’a attiré. Son troisième roman est historique avec une belle intrigue, des références. A l’aube du XVIII siècle – 1694- Nicolas Deruet est un chirurgien vivant à Nancy dans une Lorraine occupée par les Français. La pratique de la médecine, de la chirurgie et des accouchements de cette époque est remarquablement expliquée. « Le soleil sous la soie »est aussi un roman d’amour car Nicolas Déruet est bien sûr irrésistible; Rosa, la future marquise de Cornelli et Marianne Pajot, sage-femme, vont s’arracher son cœur et son corps… Bref, agréable à lire.
Un beau roman historique de 600 pages où se mêle la grande Histoire et la petite qui m’a appris beaucoup sur la société de l'époque. Beaucoup de scènes sont historiquement vraies (les gavages, par exemple)
1908, la reine Victoria n’est plus. Éric Marchal nous embarque dans des histoires se déroulant dans le Londres de Virginia Woolf et de Conan Doyle, de la bourgeoisie de l'ouest, des taudis de l'East End ouvrier et Buckingham, au Saint – Barthomews Hospital, Chinatown.
Trois personnages :
• L’audacieuse Olympe Lovell du groupe de meneuses des suffragettes d’Emmeline Pankhurst, WSPUprête à tout pour obtenir le droit de vote,
• Le talentueux et mystérieux Thomas Belamy, médecin annamite français qui travaille aux urgences mêlant ce qu’il existe de mieux des pratiques occidentales et chinoises
• Horace de Vere Cole, aristocrate fantasque et spécialiste en arnaque et canulars.
• Nous rencontrons également une galerie de personnages historiques (politiciens, écrivains, monarque…)
Trois thèmes :
• Le combat des suffragettes pour obtenir le droit de vote, l’égalité femme-homme
• L’évolution de la médecine (services d’urgences, opérations...)
• La lutte contre l’obscurantisme
Les personnages sont attachants, bien peints ; J’ai bcp aimé l’infirmière Frances, la sœur Elizabeth, le directeur de l’école de médecine, de beaux personnages par l’auteur).
J’ai détesté l’horrible sir Jassop et sa relation à son fils
Les aventures menées à l’hôpital sont passionnantes, (et très justes car l’auteur est chercheur en immunologie).
J’avoue n’avoir pas été intéressée par les canulars d’Horace le joyeux drille aristocrate, un tantinet agaçant voire ennuyant (il parait qu’il a existé).
Un presque coup de cœur
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