"J’écris depuis toujours sur des personnages confrontés au diktat, ceux qui n'acceptent pas leur sort..."
"J’écris depuis toujours sur des personnages confrontés au diktat, ceux qui n'acceptent pas leur sort..."
Rencontrez Diane Ducret à Paris le mardi 22 mars, pour son nouveau roman "Le maître de l'océan"
Un roman passionnant qui nous emporte dans une Europe en pleine évolution et révolution...
Après « La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose », la romancière revient avec « La Dictatrice »
Comme dans le 1er tome, l'auteure dresse le portrait de femmes ayant vécu avec des dictateurs. Cette fois, il s'agit de Castro, Molosevic, Ben-Laden, Jong III ou Hussein.
J'ai souvent coupé ma lecture pour aller me renseigner sur le contexte historique, très peu évoqué dans ce livre, qui se lit assez facilement dans un rythme constant et mois confus que dans le 1er tome.
L'auteure nous raconte Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Caeausecu et Hitler à travers leurs relations aux femmes.
Difficile d'en imaginer certains comme des sex-symbol et pourtant !
Un document passionnant à découvrir malgré un style un peu confus.
Belle métaphore de la vie et de la destinée des êtres humains.
La Nature et les éléments ont tout à nous dire et ont tout à nous apprendre sur nous-même, à condition que l'on accepte d'être en communion !
Ce pourrait être l'histoire de Petit Scarabée et ça nous ferait sourire ; on se remémorerait le feuilleton des années soixante-dix, le brin de nostalgie en prime...
Ce pourrait être un énième livre lucratif de Matthieu R., la toge en bandoulière, fils spirituel du Dalaï...
Inévitablement, ces références viendront vous faire un clin d'oeil, à un moment ou à un autre de votre lecture.
Cependant, il s'agit bien de quelque chose d'autre. Quelque chose où il est question d'une quête menant à l'Océan, ce Grand Tout qui avale, recrache, resti/tue, une force éternelle qui permet aussi une nouvelle naissance.
Le langage est simple, les mots coulent comme l'eau des rivières rejoignant des fleuves qui se dirigent eux-mêmes vers le grand tumulte, l'ultime confrontation qui est faite de ce bois qui vous élève.
Le désappointement est là, qui nous guette dès la fin du livre car dehors, la vie qui nous entoure n'a pas changé, elle. Le monde, dehors, n'a pas lu ce livre. En tous cas, pas en même temps que vous.
Pour autant, il fallait bien qu'il soit écrit, ne fût-ce que pour une seule personne. Je croise les doigts pour que ce soit vous.
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