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Bertrand Galic

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Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Marcel : Cerdan, le coeur et les gants » de Bertrand Galic et Jandro aux éditions Delcourt

    Calimero29 sur Marcel : Cerdan, le coeur et les gants de Bertrand Galic - Jandro

    Ne m'intéressant pas du tout ni à la boxe, ni aux boxeurs, n'ayant aucune envie de voir des hommes et des femmes se cogner dessus même si la boxe est érigée en sport, je ne connaissais de Marcel Cerdan que son histoire d'amour avec Édith Piaf et son tragique accident, et encore de façon...
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    Ne m'intéressant pas du tout ni à la boxe, ni aux boxeurs, n'ayant aucune envie de voir des hommes et des femmes se cogner dessus même si la boxe est érigée en sport, je ne connaissais de Marcel Cerdan que son histoire d'amour avec Édith Piaf et son tragique accident, et encore de façon succincte. J'avais envie d'en découvrir un peu plus sur l'homme derrière le boxeur ce que le sous-titre "le coeur et les gants" laissait entrevoir.
    L'album s'ouvre sur deux sublimes dessins des Açores auxquels la lumière confère une beauté irréelle mais la réalité nous rattrape car c'est là où l'avion de Marcel Cerdan (1916-1949) s'est écrasé. Nous remontons donc dans le passé, à l'enfance de Marcel qui rêvait d'être footballeur mais que son père entraîne à la dure pour qu'il devienne boxeur, le battant lorsqu'il est récalcitrant; il abandonnera son rêve par amour pour sa mère qui ne supportait plus les disputes violentes. Puis, nous le suivons dans sa vie et sa carrière jusqu'à la consécration en 1948 où il devient champion du monde des poids moyens, titre qu'il perd l'année suivante par abandon pour blessure face à Jake LaMotta.
    Nous découvrons un petit garçon très proche de sa mère qui mourra en 1935 et à laquelle il dédiera tous ses combats et à laquelle il ne cessera de penser. Il devient un homme pour lequel l'amitié n'est pas un mot vide de sens mais une vraie relation de confiance "à la vie, à la mort", pour lequel l'engagement pendant la guerre a consisté à continuer les combats en reversant une partie de ses cachets à la Résistance ou en rejoignant en 1942 les Forces Navales Françaises Libres.
    Mais l'auteur met également à jour ses failles : le besoin d'être aimé par les gens et la boxe lui offre cette chance, le besoin d'être le meilleur ce qu'il sera avant d'être fauché en pleine gloire. Bertrand Galic n'occulte pas, sans s'y appesantir, l'infidélité aux femmes (Marinette apprend le jour de son mariage avec Cerdan en 1943 qu'il va être père d'une petite fille après son aventure avec Thérèse, elle fera également face à la liaison avec Édith Piaf).
    Les dessins sont très réalistes, dynamiques, les visages sont expressifs; une mention spéciale pour les deux premières planches absolument magnifiques.
    L'image donnée par cette BD est celui d'un Marcel au grand coeur, qui s'engage à fond dans tout ce qu'il entreprend, aussi bien sur le plan privé que professionnel. Un bémol cependant : beaucoup de combats; j'aurais préféré que la BD consacre plus de place au "coeur" qu'aux "poings".
    Elle est complétée par une interview de Bertrand Galic ainsi que par une biographie personnelle et professionnelle de Cerdan.
    #Marcel #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « Marcel : Cerdan, le coeur et les gants » de Bertrand Galic et Jandro aux éditions Delcourt

    Orely sur Marcel : Cerdan, le coeur et les gants de Bertrand Galic - Jandro

    La premiere bd sur cette figure emblématique du sport

    Si de nombreuses bd sur la boxe existent, il s’agit de la première à être consacrée à Marcel Cerdan

    Évidemment, la bd aborde son histoire d'amour avec Édith Piaf mais aussi des moments auprès de ses proches, famille, amis.

    L'album,...
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    La premiere bd sur cette figure emblématique du sport

    Si de nombreuses bd sur la boxe existent, il s’agit de la première à être consacrée à Marcel Cerdan

    Évidemment, la bd aborde son histoire d'amour avec Édith Piaf mais aussi des moments auprès de ses proches, famille, amis.

    L'album, scénarisé par Bertrand Galic, décrit l'ascension de Cerdan depuis Casablanca, puis la guerre qui vient tout stopper et qui l'amènera à se positionner à sa manière dans ce conflit mondial, jusqu'à la paix et enfin la conquête de l'Amérique.

    Une vie riche qui apparaît quelques peu survolée par moment. Cela donne une vue d'ensemble sur l'histoire de cette légende du noble art qu'on a envie d'approfondir après la lecture.

    Le trait de Jandro et la colorisation rendent parfaitement hommage à Cerdan qui prend vie, case apres case, tant dans sa vie intime que dans ses combats. Les décors, les expressions des visages sont travaillés, le découpage adapté, rythmant agréablement le récit.

    Merci à #NetGalley et aux Editions Delcourt pour la lecture.

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    Couverture du livre « La petite fille et le postman » de Roger Vidal et Bertrand Galic aux éditions Vents D'ouest

    Claire @fillefan2bd sur La petite fille et le postman de Roger Vidal - Bertrand Galic

    La petite fille et le postman

    Le 18 avril 1906, un effroyable tremblement de terre d’une magnitude 8,2 sur l’échelle de Richter secoue la Californie et plus particulièrement la ville de San Francisco.
    3000 morts et 300 000 sans-abris. Parmi ces derniers, la petite Jenny et son beau-père qui...
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    La petite fille et le postman

    Le 18 avril 1906, un effroyable tremblement de terre d’une magnitude 8,2 sur l’échelle de Richter secoue la Californie et plus particulièrement la ville de San Francisco.
    3000 morts et 300 000 sans-abris. Parmi ces derniers, la petite Jenny et son beau-père qui ont réchappé à ce tragique évènement. Ce qui n’est pas le cas pour la maman de Jenny.

    Incapable dorénavant de s’occuper seul de la petite, Alan Bridge décide d’envoyer Jenny chez ses parents à Chicago, située à une distance de plus de 3400 kilomètres.
    Et pour que ce trajet ne lui coûte pas trop cher, l’homme va utiliser une faille existante dans le règlement des services postaux américain. Envoyer Jenny par la poste comme un vulgaire colis, puisqu’elle ne dépasse pas les 50 pounds (23kg) réglementaires.

    C’est ainsi qu’Enyeto, un facteur amérindien va devoir prendre en charge, contre son gré, ce colis. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, celui-ci décide malgré tout de mener à bien la mission qui lui a été confiée.
    Mais son colis a un sacré caractère et absolument pas sa langue dans sa poche.
    Voici donc partis sur les routes et sur les rails, une petite fille et un postman que tout oppose. Un rail et roadtrip qui va rapidement les rapprocher, leur chemin étant parsemé d’embûches et surtout ne pouvant compter que l’un sur l’autre.

    Dans cette histoire, il est question de différences, de tolérance, de complicité, mais aussi de séparation, d’assimilation et de racisme.
    Une aventure humaine qui va permettre à deux personnages antagonistes d’apprendre à se connaître, à s’apprivoiser, à se respecter et à se comprendre. Au point de devenir indispensable l’un à l’autre.

    Avec ses grands yeux, comme dans les mangas, le personnage de Jenny, insuffle du dynamisme dans le récit.
    C’est elle, qui avec ses remarques et ses interrogations, fait avancer le duo qu’elle forme avec Enyato, afin de rejoindre Chicago, mais surtout d’avancer vers une nouvelle vie, même si celle-ci est incertaine et inconnue.

    Une aventure géographique, historique, mais avant tout humaine servie par deux personnages des plus attachants.

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    Couverture du livre « Les voyages de Gulliver ; de Laputa au Japon » de Paul Echegoyen et Bertrand Galic aux éditions Soleil

    Linstantbd sur Les voyages de Gulliver ; de Laputa au Japon de Paul Echegoyen - Bertrand Galic

    À l'évocation de Gulliver, comme pour beaucoup de monde c'est Lilliput et ses minuscules habitants qui me viennent à l'esprit. Mais ici les auteurs ont décidé d'adapter librement une partie moins connue du roman de Swift. Du coup ce fut une totale découverte qui me plongea dans l'inconnu des...
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    À l'évocation de Gulliver, comme pour beaucoup de monde c'est Lilliput et ses minuscules habitants qui me viennent à l'esprit. Mais ici les auteurs ont décidé d'adapter librement une partie moins connue du roman de Swift. Du coup ce fut une totale découverte qui me plongea dans l'inconnu des les  premières page.
    .
    Galic nous propose un voyage déroutant à travers moult pays, des rencontres étonnantes voire détonantes. Ce conte fantastique se veut divertissant mais se place aussi en critique de la société et surtout des travers de ses habitants qui ne laisseront pas une minutes d'accalmie à notre héros.
    .
    Et pour une immersion encore plus réussie quoi de mieux que le talent de Paul Echegoyen pour voyager avec notre héros.
    Il nous propose de sublimes planches devant lequels on ne peut qu'être en admiration. L'arrivée par exemple  de la ville flottante de Laputa ou encore les magnifiques ateliers de Lagado sont représentés avec un souci du détail bluffant de réalisme nous permettant de vivre au mieux cette aventure.

    En bref je suis complètement charmé par cette balade satirique. Foncez elle vous captivera de bout en bout et vous mènera à la croiser du réel et de l'imaginaire grâce à un scénario bien pensé et un coup de crayon absolument splendide !

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