Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Un bon tome, mais dans l'ensemble je suis assez déçue.Je l'ai sorti lors d'une LC.
Pourtant The Rain avait tout pour me plaire et me faisait de l'oeil depuis sa sortie sur
Netflix. C'est ce concept de pluie mortelle qui tue les humains, et où
la Terre deviendra un cimetière où seules quelques personnes ont survécu, qui m'a plu.
Etant fan du genre post-apocalyptique, il me tardait de commencer ce roman !Et pourtant....
Ici, nous allons suivre Ruby qui est en train de faire la fête chez des amis quand tout
commence.Elle va réussir à rentrer chez elle, et la paranoïa peut commencer.
En effet comment savoir si l'eau du robinet, une bouteille ouverte quelque part, les
nappes phréatiques ne sont pas toutes contaminées. Es-ce que tout le monde est mort?
Quand elle va se retrouver seule, elle va prendre la décision de rejoindre son père à Londres,
et en chemin elle est rejointe par un élève de son lycée et une fillette dont on ne sais pas
son prénom.
Arrive l'heure de la survie, c'est du chacun pour sa peau et les morts sont peut-être
plus inoffensifs que les survivants.
En soi, le contexte était bien mené, mais Ruby a tout gâché. Je ne m'attendais pas à
ce genre d'héroîne là. Pour moi elle était complètement à côté de la plaque tout le temps.
Elle ne pensais qu'à son apparence, à son "petit copain" d'une soirée Caspar, qu'à ses amis.
En un mot,elle m'a paru superficielle. Son côté égoïste aussi m'a paru totalement en
adéquation avec cette fin du monde.
Heureusement l’écriture est fluide, l’auteure ne lésine pas sur les descriptions
sanglantes, et il y a finalement pas mal d’action et de rebondissements. J'ai aimé le fait
que Ruby demande à ce que son récit soit réalisé en film, sa à apporté plus de
crédibilité.
A voir si je lirai la suite...
Et si la pluie était devenue mortelle ? Et si vous assistiez, impuissant, à la mort de votre entourage, aux pillages, au chaos... C'est ce qui arrive à Ruby, adolescente de quinze ans, qui échappe miraculeusement à la catastrophe. Véritable roman jeunesse d'anticipation, celui-ci ne m'a pas vraiment convaincu. Ou plutôt si. Je m'explique : avec un scénario comme celui-ci, tout aurait dû me séduire si ce n'est le personnage principal absolument insupportable ! Alors que l'intrigue donne dans la crédibilité, elle est entachée par une protagoniste détestable au plus au point, quintessence de l'adolescente égoïste, sans toutefois être dénuée de courage. La trame, tellement plausible, m'a fait faire quelques cauchemars, c'est dire ! En s'invitant avec intensité depuis quelques jours sur la Réunion, celle-ci a finie de m'achever, confondant la réalité de la fiction...oui, je sais faut que j'arrête de lire. Nan, je déconne ! Blague à part, une question subsiste : que va faire Ruby ? Va-t-elle croiser d'autres survivants ? Le danger vient du ciel, mais aussi des rues...
Alors qu'il y a sept ans de cela, un astéroïde explose dans notre système solaire, une pluie d'un nouveau genre va alors s'abattre, notamment sur la bourgade anglaise de Dartbridge. Un premier baiser plus tôt, Ruby quinze ans, voit sa vie basculer en compagnie de ses ami(e)s. Son petit ami Caspar, touché par la pluie, commence lentement à saigner par tous les pores de sa peau. Vision cauchemardesque ! Les consignes à la radio sont claires : se protéger d'une pluie contagieuse et porteuse d'une bactérie mortelle pour l'homme. Rentrée chez elle, Ruby ne peut que constater le lendemain, la mort de sa mère et de son petit frère contaminés. Ne reste plus qu'elle et son beau-père Simon qu'elle déteste... De la cohabitation, ils vont s'entraider et assister aux pillages des magasins et la confusion totale. Mais bientôt ils ne leur reste plus rien à boire. Pire, ils ne peuvent utiliser ni les canalisations, ni les citernes d'eaux... Forcés de piller leurs voisins tous morts, Simon est malheureusement contaminé à son tour. Seule, Ruby prend la plus grande décision de sa vie : retrouver son père à Londres. Mais le chemin est semé d'embûches...
Pendant toute cette lecture, je crois que j'ai dû boire des litres et des litres d'eau ! Outre mes cauchemars et ma peur de la pluie, je n'ai jamais autant ressenti une sensation de soif. Ce roman est une véritable psychose !
Si seulement les personnages étaient à la hauteur du potentiel scénaristique, il aurait obtenu immédiatement le coup de cœur assuré. Malheureusement, Ruby est le stéréotype de l'adolescente connectée, qui ne pense qu'au maquillage, aux fringues et aux garçons... J'ai envie de dire que c'est quand même la fin du monde, que des gens par milliers meurt autour de soi et qu'il n'y a quand même plus rien à boire. Mais non, Ruby est obsédée par le fait d'avoir oublié son sac avec son maquillage et son téléphone portable chez son ami... WTF ????
Pour nuancer mes propos, j'ai beaucoup aimé le personnage de Darius, un NERD, camarade de classe de Ruby désormais compagnon d'infortune, plus mesuré et nettement plus réfléchi. J'avoue tout de même que la peste Ruby évolue un peu au fil du roman pour dévoiler une facette plus humaine, comme lorsqu'elle libère les chiens prisonniers des maisons voisines ou des hommes enfermés du commissariat de la ville.
Ecrit sous la forme d'un journal, témoignage d'un événement, l'écriture reste fluide et légère à l'image de l'adolescence. Ce qui me déplaît un peu, c'est cette espèce d'hypocrisie de Ruby à dessiner des papillons à la place des gros mots qu'elles a pu prononcer. Cette fille ne pense qu'à se maquiller tout le long du roman et dessine des papillons pour ne pas choquer... Sache que tes actions me choquent plus que des gros mots Ruby ! Oui, je parle aux personnages comme si ils étaient vivants et alors, pourquoi pas ?
Fascinée par la qualité de la trame, pas trop par l'écriture, et affligée par l'attitude de la protagoniste, ce roman reste pour moi une déception. Dommage ! Premier tome d'une série, je doute de lire la suite...
Pour accompagner ce récit, je ne peux que vous conseiller des fruits, un tas de fruits ! Du jus, de la pulpe et du thé pour le plein de vitamines et de théine pour suivre Ruby dans cette dangereuse aventure.
http://bookncook.over-blog.com/2018/03/the-rain.html
Lorsque j’ai reçu le mail me proposant cet ouvrage en masse critique privilégiée, je n’ai même pas hésité trente microsecondes avant de postuler. « Une pluie mortelle s’abat sur la Terre : l’humanité est menacée de disparition. Rudy, 15 ans, part à la recherche de son père… ». Avec une accroche pareille, je ne pouvais raisonnablement pas faire autrement : chic, un récit apocalyptique (et non pas post-apocalyptique, puisque la fin du monde est en train de se dérouler sous nos yeux ébahis de lecteurs avides de sensations fortes) jeunesse ! Pour tout avouer, j’ai lu le reste du résumé seulement après avoir postulée, tellement j’avais peur d’arriver trop tard. Cela ne m’arrive pas tellement souvent, de me décider aussi rapidement, aussi impulsivement, mais je ne le regrette absolument pas. J’ai lu ce roman en une journée à peine, une journée pluvieuse qui avait le mérite de me plonger dans l’ambiance du récit …
Rudy, quinze ans, est en train de passer le plus beau moment de sa vie lorsque tout bascule. Alors qu’elle était en train d’embrasser Caspar, alias « le mec le plus canon du lycée » dans le jacuzzi d’un de ses meilleurs amis, le père de celui-ci déboule en hurlant de se mettre à l’abri. A peine le petit groupe est-il rapatrié dans la maison que la pluie se met à tomber. Et c’est là que la terrible nouvelle tombe : la pluie est porteuse d’une bactérie mortelle. Si votre peau entre en contact avec une seule goutte, alors vous n’avez plus que quelques heures à vivre … quelques heures de souffrance. Pour Ruby commence alors une véritable épopée en direction de Londres, où habite son frère … Qui, de l’eau tueuse ou de l’homme effrayé, sera le plus dangereux ?
Je peux vous assurer une chose : après avoir lu ce livre, vous ne regarderez plus jamais la pluie de la même façon. Peut-être même que vous en aurez peur, et que vous sursauterez à chaque goutte qui se posera sur vous. Et cela sera parfaitement normal, je vous rassure : ça me le fait également. En effet, quoi de plus banal qu’une averse ? Ici, pas d’invasion extraterrestre ou de séismes à répétition : juste des giboulées comme les autres, à un petit détail prêt, la bactérie qu’elles véhiculent. La pluie fait partie de notre quotidien. Cela rend le récit bien plus terrifiant, finalement : on ne peut pas s’empêcher de se demander « Et nous, qu’est-ce qu’on ferait dans cette situation ? Comment réagirions-nous si on apprenait brusquement que la pluie était toxique ? ».
J’ose espérer que je m’en sortirais mieux que Ruby. Car notre dévouée narratrice n’est absolument pas prête à affronter la fin du monde : superficielle, étourdie, colérique, paumée et immature, elle se préoccupe plus de son fond de teint et de son portable perdu que de la couleur du ciel … Ruby, c’est juste une jeune fille parfaitement banale qui se retrouve plongée au cœur de la tourmente … et c’est bien cela qui la rend si attachante ! On a envie de l’aider, la pauvre fille, parce qu’elle a un cœur d’or bien caché derrière ce caractère de cochon et cette tête à claque, et que ça nous fend le cœur de la voir aussi imprudente et si proche de mourir à chaque instant à cause de ses idioties. Ruby, c’est une « mademoiselle tout le monde » qui fait des erreurs, qui fait parfois confiance aux mauvaises personnes car elle n’est qu’une simple adolescente perdue au milieu d’un univers trop hostile pour elle, qui s’évanouit lorsqu’elle se retrouve face à une situation trop difficile à supporter …. Ruby, elle est humaine, vraiment, et ça rend le récit bien plus crédible, plausible et vraisemblable.
L’intrigue de ce roman est bourrée d’actions, de rebondissements et de pics d’adrénaline. Il est parfaitement impossible de s’ennuyer avec ce véritable page-turner : c’est le souffle coupé qu’on dévore chapitre après chapitre, la peur au ventre, de crainte de voir Ruby et ses compagnons d’infortune - que je préfère ne pas vous présenter afin de ne pas vous gâcher la surprise ! - recevoir une goutte d’eau ou prendre une mauvaise décision. Il y a des scènes horribles, sanglantes à souhait, des scènes terribles, émouvantes à souhait, des scènes affreuses, déchirantes à souhait. Mais en dépit de tout cela, j’ai fichtrement bien rigolé. Parce que Ruby, qui nous raconte son histoire, parsème son récit d’anecdotes, de réflexions, de petites touches d’ironies bien placées … J’ai particulièrement apprécié l’idée de remplacer toutes les grossièretés par des papillons, par respect pour sa mère qui déteste l’entendre jurer. C’est drôle, vraiment, ça illustre bien, aussi, l’adage « mieux vaut en rire qu’en pleurer » : la force de Ruby, c’est vraiment d’être capable de raconter n’importe quoi même dans une situation aussi désespérée !
En bref, The rain est un premier tome qui remplit parfaitement son rôle : le contexte est posé, l’ambiance est installée, les personnages principaux sont présentés, et l’intrigue est lancée. Mais The rain pourrait parfaitement être considéré comme un tome unique : la fin, bien qu’ouverte, pourrait très bien s’autosuffire, ce qui laisse le lecteur parfaitement libre de poursuivre ou non l’aventure en compagnie de Ruby. Personnellement, j’attends le tome 2 avec impatience : même si ce roman n’est pas un coup de cœur, j’ai passé un très agréable moment de lecture. Aucun temps mort, une narration dynamique, une idée intéressante, des personnages attachants … un roman idéal pour occuper les longues journées pluvieuses d’automne !
L'auteure nous propose un roman post-apocalyptique, young adult et très addictif. Elle nous montre comment les gens réagissent face à une catastrophe, ils deviennent fous et irresponsables pour la plupart. Au milieu de ce chaos, l'auteure critique le gouvernement qui manipule les gens, l'armée et ne pense pas à la population. Ruby est un personnage attachant. Elle raconte son malheur avec beaucoup d'humour et c'est une manière pour elle de faire abstraction de la gravité des événements. J'ai ressenti une profonde tristesse face à son désoeuvrement, à sa solitude "Ne me laisse pas seule" ne cesse-t-elle de répéter intérieurement. Oui elle n'en fait qu'à sa tête, oui elle dévalise les magasins de vêtements alors que c'est la fin du monde mais elle n'a que 15 ans et qu'aurions-nous fait à sa place? C'est une question que je me pose souvent d'ailleurs... Je trouve Ruby très humaine et j'aime son rapport avec les animaux. Et cette fin... J'ai hâte de retrouver Ruby dans de meilleurs conditions (ou pas...)
http://auchapitre.canalblog.com/archives/2017/11/11/35854992.html
Au chapitre d'Elodie
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