La bibliothèque idéale de Dominique Sylvain

Une bibliothèque d’émotions, de rythmes et de mouvements voire d’errances parce que, dans le fond, la grande littérature n’est pas cérébrale.

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  Danse, danse, danse de Haruki Murakami

  Entre ces deux romans, je ne me décide pas. Puissance envoûtante de l’imagination. La littérature comme un sport de combat, mais non-violent.
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  La fin des temps de Haruki Murakami

  Entre ces deux romans, je ne me décide pas. Puissance envoûtante de l’imagination. La littérature comme un sport de combat, mais non-violent.
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  Martin eden de Jack London

  Le roman de notre solitude. Si émouvant que j’en ai pleuré.
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  Trahisons et autres pieces - (suivi de) hot-house de Harold Pinter

  La passion en commençant par la fin et sans une once de gras. Superbe.
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  Le grand sommeil ; le privé Philip Marlowe de Raymond Chandler

  Atmosphère inimitable, regard romantique, naissance d’un héros inoubliable, fière mélancolie.
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  Le Rouge et le Noir de Stendhal

  Être jeune et désirer, jusqu’à la mort.
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  Sur la route de Jack Kerouac

  Une claque. L’autofiction qui achève toutes celles qui suivront.
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  Les essais de Michel De Montaigne

  J’étais une enfant et, depuis le 16e siècle, un gentilhomme me parlait de notre humanité commune d’une voix amicale et avec une sensibilité et une intelligence fulgurantes. J’espère que ce texte donne toujours envie de grandir et d’aimer le monde.
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  Le marin de Gibraltar de Marguerite Duras

  Des phrases de pianiste, encore magnifiées par la sensualité, pour un rêve d’absolu inatteignable.
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  L'usage du monde de Nicolas Bouvier - Thierry Vernet

  Regarder les autres, s’oublier pour donner. Personne n’écrit aussi juste et aussi bien.
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  Tokyo de Mo Hayder

  Inclassable, stylistiquement parfait et d’une si douce cruauté.