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Karen Viggers

Karen Viggers
Karen Viggers est née à Melbourne, en Australie. Après des études à Melbourne et à Canberra, elle obtient son diplôme de vétérinaire puis son doctorat en étude de la faune sauvage. Elle écrit entre son activité en cabinet et l'étude des animaux australiens. Après La Mémoire des emb... Voir plus
Karen Viggers est née à Melbourne, en Australie. Après des études à Melbourne et à Canberra, elle obtient son diplôme de vétérinaire puis son doctorat en étude de la faune sauvage. Elle écrit entre son activité en cabinet et l'étude des animaux australiens. Après La Mémoire des embruns qui a connu un grand succès, La Maison des hautes falaises est le deuxième roman de Karen Viggers publié aux Escales.

Avis sur cet auteur (63)

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    Couverture du livre « La maison des hautes falaises » de Karen Viggers aux éditions Le Livre De Poche

    Salix_alba sur La maison des hautes falaises de Karen Viggers

    Un livre émouvant, plein de tendresse, qui évolue sur la côte australienne, ainsi que le survol de la vie foisonnante des grèves et celles des tristes tourments tortueux des humains. En effet, il est tellement facile de sombrer dans le désespoir, et de noyer ses pensées dans le gouffre de...
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    Un livre émouvant, plein de tendresse, qui évolue sur la côte australienne, ainsi que le survol de la vie foisonnante des grèves et celles des tristes tourments tortueux des humains. En effet, il est tellement facile de sombrer dans le désespoir, et de noyer ses pensées dans le gouffre de l'inconscient...

    Lex Henderson, quitte Sydney, et va s'échapper dans une petite ville côtière, à la suite d'un drame familial ! La perte d'un bébé dont ni lui ni sa femme ne pourront se relever ; au bout du tunnel, le divorce.

    Il va faire connaissance, peu de temps après son installation, dans sa maison des falaises, de Callista Bennet, une jeune artiste peintre, qui traverse, également une souffrance indicible, la violence conjugale de son mari qui lui fera faire une fausse couche

    Pour seule distraction, la compagnie là-haut, des virevoltes des goélands dans les courants thermiques perdus dans la course des nuages gris annonciateurs d'orage. Il aura, un grand moment d'émotion, quand il ira avec sa planche de surf, au loin, à l'encontre d'un petit groupe de baleine à bosse. Un grand moment d'apaisement, car il se trouve fasciné par leur grâce et leur chant.

    Or donc, ces deux-là, vous se rencontrer, d'où va naître une histoire d'amour ; avec il faut le dire des moments crispants. Des rencontres attendues, mais des situations conflictuelles causées par la discussion par la surpêche des baleines, Callista se trouve trop émotive et trop compliquée, pour séduire un homme, et, Lex qui trouve, que le purgatoire se trouve sur terre et considère donc qu'il est seul dans le néant. Bref difficile voire impossible pour eux de rester en phase en oblitérant leur cruel passé. Usant, fatigant ces éternels insatisfactions de l'un puis de l'autre !

    Mais quel plaisir de lire les pages du roman de " Karen Viggers "concernant la faune, l'écoute de la nature, le passage au loin des bateaux drapés de brume et le silence qui calment l'esprit et qui favorisent la réparation des âmes esseulées.

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    Couverture du livre « Le murmure du vent » de Karen Viggers aux éditions Les Escales

    BERNARD DOMINIQUE sur Le murmure du vent de Karen Viggers

    Bonjour . Karen Viggers nous montre l'Australie sous un jour que je ne connaissais pas . Je découvre qu'en 1960 l'Etat a voulu transformer l'Australie en un pays moderne , un pays à la pointe du progrès ...et pour cela "s'ils voulaient vos terres , vous étiez obligés de leur céder " ...Depuis...
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    Bonjour . Karen Viggers nous montre l'Australie sous un jour que je ne connaissais pas . Je découvre qu'en 1960 l'Etat a voulu transformer l'Australie en un pays moderne , un pays à la pointe du progrès ...et pour cela "s'ils voulaient vos terres , vous étiez obligés de leur céder " ...Depuis Abby étudiante , qui base sa thèse sur l'étude des kangourous, durant ses recherches "elle vit au grand air , loin de l'atmosphère confinée de la salle de la fac baignée de lumière artificielle ..." va faire des rencontres : Daphné , vieille dame chassée de ses terres par l'Etat et qu'on suit dans son passé plein de poésie :le second carton " à l'intérieur , une étoffe rose aussi vaporeuse qu'un nuage ...Il lui a suffi toucher la robe et c'est soudain toute sa jeunesse qui reviennent ..." ; Cameron , un journaliste , qui apparaît dans la vie d'Abby comme l'amour qu'elle attendait depuis toujours :" En prenant sa main , elle tressaillit de surprise .On aurait dit qu'il en émanait une onde solaire . Elle n'avait plus envie de la lâcher"
    On avance au travers de l' Histoire , on a le coeur qui se serre avec Daphné quand on lit ses pensées , ses regrets:" Au début elle est toujours déçue , tout ce qu'elle a sur les yeux , c'est un lieu délabré : les enclos en lambeaux , les remises effondrées , la cheminée couchée au sol là où autrefois s'élevait la maison de brique.." ; on découvre la vie des fermiers durant les années 1960.
    On marche avec Abby dans la poussière , au milieu des kangourous. Et l'autrice nous divulgue les volontés de l'Etat australiens d'éliminer tout obstacle qui pourrait empêcher la pérennité de son pays :le trop grand nombre de kangourous , le gommage d'une certaine partie de la population dont les autochtones et les plus modestes
    :" Matt occupe une vieille baraque vétuste sur le domaine d'un ami"
    On a l'impression que c'est un pays oublié , des promesses non tenues .Un Etat dépassé . Pourtant on retiendra la délicatesse avec laquelle Karen Viggers nous parle de son pays . Belles lectures . Prenez soin de vous

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    Couverture du livre « Le bruissement des feuilles » de Karen Viggers aux éditions Les Escales

    Sevlipp sur Le bruissement des feuilles de Karen Viggers

    Un très beau roman qui se situe dans la Tasmanie rurale.
    La vie est dure, la pauvreté est présente, les coups partent vite et la maltraitance est ordinaire.
    En toile de fond, l'écologie pour préserver ces grandioses forêts mais aussi la nécessité pour les bucherons de couper les arbres pour...
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    Un très beau roman qui se situe dans la Tasmanie rurale.
    La vie est dure, la pauvreté est présente, les coups partent vite et la maltraitance est ordinaire.
    En toile de fond, l'écologie pour préserver ces grandioses forêts mais aussi la nécessité pour les bucherons de couper les arbres pour survivre ; les choix sont difficiles.
    Les personnages sont intenses et la plupart attachants.
    L'écriture est élégante et le rythme posé.
    Malgré la rudesse de l'histoire, je me suis sentie apaisée pendant ma lecture.
    Une belle découverte.

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    Couverture du livre « La maison des hautes falaises » de Karen Viggers aux éditions Le Livre De Poche

    armelle leroy sur La maison des hautes falaises de Karen Viggers

    écriture poétique pour décrire la Nature , superbe !
    du coup j'ai embrayé avec " la mémoire des embruns " qui m'a fait tout autant voyagé .

    écriture poétique pour décrire la Nature , superbe !
    du coup j'ai embrayé avec " la mémoire des embruns " qui m'a fait tout autant voyagé .