"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La poésie de Marie-Claire Bancquart est attentive aux mots et aux rythmes, exigeante dans la recherche de l'expression la plus simple et la plus serrée possible.
Cette écriture interroge et explore l'étrangeté de notre condition : la joie devant l'objet, la bête ou l'arbre, sans oublier l'amitié ni l'amour - mais, inversement, la violence des guerres et le caractère fatal de notre mort. Elle tente ainsi de constituer un univers très concret de communication entre l'homme et les autres espèces, entre l'homme et le minéral. Elle rejoint là certaines pensées orientales, certains poètes de l'Antiquité.
« La «violente vie» apparaît d'abord ici comme un «ressac de l'incertain» : scandaleuse ou médiocre, ou au contraire bienheureuse et en contact étroit avec la matière. Comment approcher, pour reprendre les mots de Mallarmé, «le sens mystérieux des aspects de l'existence» ? On «invente de vivre». La relation entre les choses minuscules et le monde dans sa globalité, le sentiment du rapport très étroit du corps avec l'univers, se présentent comme une possibilité d'accord essentiel, dans l'immanence, avec l'ensemble de ce qui existe. »
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