"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ces variations sur le sublime et le soi sont variations en ce qu'elles traitent de la même problématique, l'articulation du « moment » du sublime et de la naissance du soi en contact avec soi, en prenant différents points d'entrée qui impliquent autant de cheminements.
Dans la « basse époque » où nous sommes forcés de vivre et où tout paraît bien s'effondrer, Marc Richir s'intéresse au sublime, qui fait signe vers la transcendance, aujourd'hui abhorrée, confondue qu'elle est généralement avec un Dieu vindicatif et implacable, ou avec les horreurs innommables des temps, quand elle n'est pas stupidement représentée par le spectaculaire. Il s'agit ici de quelque chose de beaucoup plus intime, et qui ouvre aux questions de sens, dont il n'en est aucune, si nous voulons être sincères avec nous-mêmes, qui puisse trouver de réponse propre à nous satisfaire. L'ambition de l'auteur est de proposer quelques-unes de ces questions et quelques-unes de leurs réponses. Comme le pensait Husserl, la phénoménologie est une discipline du provisoire. Sans doute comme la vie même, quand elle ne s'illusionne pas.
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