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Une trilogie de la nouvelle poésie persane

Couverture du livre « Une trilogie de la nouvelle poésie persane » de Karim Pour aux éditions Les Trois Colonnes
Résumé:

La vieille poésie persane a déjà inscrit de grands noms comme Ferdowsi, Khayyâm, Roumi, Saadi ou bien encore Hafiz sur les murailles du monument de la littérature du monde. Grâce aux traducteurs industrieux, celle-là a indéniablement exercé une influence importante sur celle-ci. Mais la nouvelle... Voir plus

La vieille poésie persane a déjà inscrit de grands noms comme Ferdowsi, Khayyâm, Roumi, Saadi ou bien encore Hafiz sur les murailles du monument de la littérature du monde. Grâce aux traducteurs industrieux, celle-là a indéniablement exercé une influence importante sur celle-ci. Mais la nouvelle poésie persane ne jouit pas d'autant de renommée dans le monde de la littérature, les poètes Iraniens contemporains n'y étant que très peu connus ; tandis qu'on peut découvrir nombre de thèmes et de techniques originales dans cette poésie. De ce fait, l'objectif principal de cette traduction est de faire connaître quelques échantillons de la poésie persane du XXe siècle au lecteur francophone. Il lira, dans ce recueil, les poèmes de trois poètes perses dont les horizons sont tout à fait différents l'un de l'autre ; à savoir, les poèmes de Sohrab Sépehry sont inspirés d'une muse terrestre, ceux de Furougue Farroxad d'une muse céleste et ceux d'Husséine Panahy d'une muse infernale. L'étude de ce réseau triangulaire lui permettra d'entrer dans un univers inexploré et d'apprendre à la fois sur la culture, la vie et la pensée iraniennes contemporaines. Qui plus est, bien que cette traduction témoigne d'un haut degré de fidélité, tous les poèmes sont traduits en des poèmes et cela est peut-être la plus importante caractéristique de ce recueil.Karim Pour est né le 15 février 1982 à Tabriz en Azerbaïdjan de l'Iran. Grâce à son père, il a pu découvrir les littératures azerbaïdjanaise et persane dès l'enfance. En 1995, il commence à écrire des poèmes en persan, mais il comprend bientôt que le persan ne peut satisfaire sa passion et il se met à apprendre d'autres langues. Il lit des poèmes en anglais, espagnol, allemand, turc, et en 2008, il trouve enfin ce qu'il cherchait depuis longtemps dans la langue et la littérature françaises.

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