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Une très belle jeune femme

Couverture du livre « Une très belle jeune femme » de Julian Lopez aux éditions Christian Bourgois
Résumé:

Buenos Aires, dans les années 1970.

Un jeune garçon vit seul avec sa mère dans les quartiers pauvres de la ville. Abandonné par son père, il voue un amour inconditionnel à cette « belle jeune femme » dont il ignore presque tout tant elle s'évertue à cultiver son mystère. Esquivant la plupart... Voir plus

Buenos Aires, dans les années 1970.

Un jeune garçon vit seul avec sa mère dans les quartiers pauvres de la ville. Abandonné par son père, il voue un amour inconditionnel à cette « belle jeune femme » dont il ignore presque tout tant elle s'évertue à cultiver son mystère. Esquivant la plupart des questions de son fils, elle a l'art de disparaître à l'improviste le soir ou au milieu d'une promenade, et refuse souvent de répondre aux appels téléphoniques qu'elle reçoit. Un comportement qui suscite de nombreuses interrogations : est-elle impliquée dans des affaires criminelles ou politiques ? A-t-elle un amant ? Il n'est pas certain que l'enfant aura un jour les réponses à ces questions.

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Avis (3)

  • « Ma mère disait que c'étaient les livres qui faisaient la différence, que c'était ce qui devait attirer mon attention quand j'entrais chez quelqu'un .Si il y avait des livres, c'était autre chose ». P.91 « Je me suis remis à lire à l’âge adulte et à moitié par paresse, quand j’ai senti aussi en...
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    « Ma mère disait que c'étaient les livres qui faisaient la différence, que c'était ce qui devait attirer mon attention quand j'entrais chez quelqu'un .Si il y avait des livres, c'était autre chose ». P.91 « Je me suis remis à lire à l’âge adulte et à moitié par paresse, quand j’ai senti aussi en train d’échouer dans ma volonté de non lecture. Après tout, c’est la seule chose qu’on peut faire, m’étais-je dis, lire c’est la seule chose à faire » (p148) Ce premier roman est un bel hommage d’un fils à sa mère, car « une très belle jeune femme » du titre est le portrait de sa mère. Nous sommes en Argentine, dans les années 70 et l’auteur, jeune garçon, nous raconte son enfance et sa vision de ce qui se passe. Il vit seul avec sa mère et ne sait pas qui est son père. Ils vivent tous les deux, avec quelques relations avec la voisine, Elvira, une ancienne chanteuse de tango, virtuose du crochet et du plumetis, reine des housses en plastique transparent, qui inonde l’enfant d’une affection exubérante. Elle adore l’embrasser ce petit homme avec de si beaux yeux. J’ai aimé sa façon de nous raconter son enfance et sa façon d’essayer de comprendre ce qui se passe. Le climat dans les rues de Buenos Aires nous est décrit par le regard de ce petit garçon qui essaie de comprendre des coups de téléphone énigmatiques, pourquoi sa mère disparaît de temps en temps, en le confiant à une mère dans un parc ou alors à l’exubérante voisine. J’ai aimé aussi sa façon de nous raconter leur Noël, même si cette fête est « Les signes du mensonge le plus scandaleux de l’Occident ». Le portrait touchant d’un petit garçon puis d’un homme qui essaie de comprendre les femmes. Une belle écriture pour décrire les climats délétères des dictatures et la façon dont on essaie de protéger les jeunes enfants pendant ses périodes. Un très beau hommage à sa mère.

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  • « Ma mère disait que c'étaient les livres qui faisaient la différence, que c'était ce qui devait attirer mon attention quand j'entrais chez quelqu'un .Si il y avait des livres, c'était autre chose ». P.91« Je me suis remis à lire à l’âge adulte et à moitié par paresse, quand j’ai senti aussi en...
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    « Ma mère disait que c'étaient les livres qui faisaient la différence, que c'était ce qui devait attirer mon attention quand j'entrais chez quelqu'un .Si il y avait des livres, c'était autre chose ». P.91« Je me suis remis à lire à l’âge adulte et à moitié par paresse, quand j’ai senti aussi en train d’échouer dans ma volonté de non lecture. Après tout, c’est la seule chose qu’on peut faire, m’étais-je dis, lire c’est la seule chose à faire » (p148)Ce premier roman est un bel hommage d’un fils à sa mère, car « une très belle jeune femme » du titre est le portrait de sa mère. Nous sommes en Argentine, dans les années 70 et l’auteur, jeune garçon, nous raconte son enfance et sa vision de ce qui se passe. Il vit seul avec sa mère et ne sait pas qui est son père. Ils vivent tous les deux, avec quelques relations avec la voisine, Elvira, une ancienne chanteuse de tango, virtuose du crochet et du plumetis, reine des housses en plastique transparent, qui inonde l’enfant d’une affection exubérante. Elle adore l’embrasser ce petit homme avec de si beaux yeux. J’ai aimé sa façon de nous raconter son enfance et sa façon d’essayer de comprendre ce qui se passe. Le climat dans les rues de Buenos Aires nous est décrit par le regard de ce petit garçon qui essaie de comprendre des coups de téléphone énigmatiques, pourquoi sa mère disparaît de temps en temps, en le confiant à une mère dans un parc ou alors à l’exubérante voisine. J’ai aimé aussi sa façon de nous raconter leur Noël, même si cette fête est « Les signes du mensonge le plus scandaleux de l’Occident ». Le portrait touchant d’un petit garçon puis d’un homme qui essaie de comprendre les femmes. Une belle écriture pour décrire les climats délétères des dictatures et la façon dont on essaie de protéger les jeunes enfants pendant ses périodes. Un très beau hommage à sa mère.

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    « Ma mère disait que c'étaient les livres qui faisaient la différence, que c'était ce qui devait attirer mon attention quand j'entrais chez quelqu'un .Si il y avait des livres, c'était autre chose ». P.91« Je me suis remis à lire à l’âge adulte et à moitié par paresse, quand j’ai senti aussi en train d’échouer dans ma volonté de non lecture. Après tout, c’est la seule chose qu’on peut faire, m’étais-je dis, lire c’est la seule chose à faire » (p148)Ce premier roman est un bel hommage d’un fils à sa mère, car « une très belle jeune femme » du titre est le portrait de sa mère. Nous sommes en Argentine, dans les années 70 et l’auteur, jeune garçon, nous raconte son enfance et sa vision de ce qui se passe. Il vit seul avec sa mère et ne sait pas qui est son père. Ils vivent tous les deux, avec quelques relations avec la voisine, Elvira, une ancienne chanteuse de tango, virtuose du crochet et du plumetis, reine des housses en plastique transparent, qui inonde l’enfant d’une affection exubérante. Elle adore l’embrasser ce petit homme avec de si beaux yeux. J’ai aimé sa façon de nous raconter son enfance et sa façon d’essayer de comprendre ce qui se passe. Le climat dans les rues de Buenos Aires nous est décrit par le regard de ce petit garçon qui essaie de comprendre des coups de téléphone énigmatiques, pourquoi sa mère disparaît de temps en temps, en le confiant à une mère dans un parc ou alors à l’exubérante voisine. J’ai aimé aussi sa façon de nous raconter leur Noël, même si cette fête est « Les signes du mensonge le plus scandaleux de l’Occident ». Le portrait touchant d’un petit garçon puis d’un homme qui essaie de comprendre les femmes. Une belle écriture pour décrire les climats délétères des dictatures et la façon dont on essaie de protéger les jeunes enfants pendant ses périodes. Un très beau hommage à sa mère.

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