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Dans une île depuis longtemps tourmentée par l'indolence et la confusion, quelques hommes jeunes choisissent la clandestinité pour mener un combat incertain.
L'un d'eux disparaît mystérieusement, tandis que se déchaînent la violence, les passions enfouies, et la vengeance de ses compagnons. De la torpeur de Borgu-Serenu, ville spectatrice où chacun se connaît et s'épie, à une tragédie qui dépassera l'île, de ses espoirs à son renoncement, le narrateur tente de reconstituer son histoire, histoire clandestine d'une génération, de ses rêves et de ses échecs, l'ultime avatar d'un lieu clos.
Journaliste de son état, le narrateur confie à ses cahiers personnels ce que son métier ne saurait l'autoriser à écrire. C'est ainsi qu'il entre dans la nuit des métamorphoses, là où le pragmatisme des analyses cède la place aux ténèbres du doute, de l'aveu ou de la confession. Fiévreuse, radicale, la langue de Jean-Baptiste Predali fait glisser les personnages vers le champ magnétique du destin. Apre et compassionnel à la fois, le récit explore les vertiges de ceux qui, en proie à l'énigmatique Eros de la perte de soi, ont succombé au cauchemar de la clandestinité, au fatum de l'action directe.
Au syndrome insulaire.
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